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Ah, la douce puanteur de l'air marin !

Numéros de page :
4 p. / p. 30-33
A l'époque, l'air était irrespirable à Toulon, Brest, Le Havre qu'il est de nos jours à Paris, en février, avec ses pics d'ozone... Marins et officiers n'avaient qu'une idée : aller à la campagne pour fuir ces ports, leur climat, la maladie et la pollution.
Note Générale :