Quentin Tarantino ″Django Unchained″
Bulletin : Positif 624 - février 2013
Numéros de page :
9 p. / p. 6-14
Tarantino déchaîné, au sommet de son art, tel il nous est apparu dans son septième film (les deux ″Kill Bill″ n'en faisant qu'un selon lui), ″Django Unchained″. Une bonne raison pour réaliser notre sixième entretien avec lui. A l'approche de ses cinquante ans, le cinéaste wonder boy n'a pas changé depuis notre première rencontre, il y a vingt ans, au lendemain de la projection de son ″opera prima″, ″Reservoir Dogs″ (hors compétition au festival de Cannes) : volubile, gouailleur, simple, disséquant avec brio ses propres films et ceux des autres, tels un Scorsese ou un Tavernier.