Aller au contenu principal

Le Monde sauvage et nous. Protéger

Bulletin : Le 1 août 2021
Numéros de page :
pp.1-10
Parce qu'elle la croyait toujours capable de croître et de se multiplier, l'humanité a mis longtemps à comprendre la nécessité de protéger la faune sauvage. Au massacre plus ou moins complet de certaines espèces - kangourou géant, rythine de Steller, lion de l'Atlas, bison d'Amérique - répondait la réalité des troupeaux géants de mammifères africains, des océans généreux en poissons, des nuées d'oiseaux qui obscurcissaient le ciel. Sans oublier la présence de redoutables prédateurs, dont l'homme cherchait d'abord à se protéger lui-même. Bref, il y a loin de possesseur à protecteur de la nature. Et il a fallu attendre quelques jalons décisifs - la création du Fonds mondial pour la nature (WWF) en 1961, la parution du "Printemps silencieux" de Rachel Carson l'année suivante - pour que l'alarme soit tirée et la menace exposée. Sommaire. Un combat pour notre humanité. L'infini fragile du Seregenti. Jane Goodall : "Si les forêts meurent, c'est probablement la fin pour nous". Keiko, l'orque qui a ému le monde. Le sanctuaire des animaux.