Les enregistrements du chef d'orchestre autrichien occupent une place distinctive dans l'histoire du disque, et Deutsche Grammophon peut se vanter d'être le label avec lequel le plus charismatique des chefs d'orchestre est associé. (Electre)

Le troisième disque des enregistrements inédits du début des années 90, juste après que l'artiste ait quitté le légendaire chour d'enfants autrichien des Wiener Sängerknaben. De Schubert à Richard Strauss, en passant par Mahler et Fauré, cet inédit enregistré par un adolescent en surprendra plus d'un ! (Electre)

Né en Espagne en 1876 et disparu en 1973 à presque 97 ans, il fut le plus grand violoncelliste de la première moitié du XXe sicèle. Il fut le premier à populariser cet instrument et à lui donner un rôle majeur aux côtés du piano et du violon. Ce coffret reprend l'inoubliable version des 6 suites pour violoncelle seul de Bach, des trios de Beethoven et Schubert, des grands concertos ainsi qu'un disque entier consacré aux bis et pièces virtuoses. (Electre)

Erato réédite ici les enregistrements consacrés à Schubert réalisés par la contralto française, Nathalie Stutzmann entre 2004 et 2008 avec le regretté Inger Södergren, à l'époque pour le label Calliope.

Voici le coffret intégral des enregistrements que le grand chef Seiji Ozawa a effectué au début de sa carrière à la tête du prestigieux Orchestre Symphonique de Chicago. On connait l'extraordinaire carrière du chef japonais, remarqué dès 1959 par Charles Munch, avant qu'il étudie auprès d'Herbert von Karajan à Berlin. Chef éclectique, doué pour tous les répertoires il s'illustre tout au long de sa carrière par des enregistrements remarquables, tant à l'orchestre qu'à l'Opéra. (Electre)

Que ce soit à travers des enregistrements de légende, comme le triple concerto de Beethoven, vendu à plus d''un million d''exemplaires, le concerto et double concerto de Brahms avec Klemperer et Szell, ses Mozart qu''il dirige également, mais aussi ses prodigieux enregistrements de chambriste, c''est un trésor absolu de l''archet que le mélomane découvrira ici. (Electre)

Haydn, Mozart, Beethoven et Schubert ont marqué à jamais Vienne, capitale musicale mondiale depuis 250 ans. Véritable chasse aux souvenirs de cet âge d'or, ce programme musical chemine dans Vienne à la recherche des théâtres, des palais, des maisons d'artistes et des quartiers de musiciens. Plans et chronologies évoquent ce passé prestigieux dont les échos résonnent encore aujourd'hui. (Electre)

L'idée des Salons de Musique est de "provoquer" des rencontres musicales inédites et exclusives entre musiciens de premier plan, qui se déroulent dans des lieux décalés, intimes et différents. Ce sont des moments inoubliables de partage et d'émotions entre les musiciens et avec le public. Au cours des 20 émissions déjà produites, les Salons de musique ont invité des interprètes français et étrangers parmi les meilleurs de la scène classique. Sont présents dans cette sélection : Shani Diluka, Jean-Guihen Queyras, François Salques, Sarah Nemtanu, Alexandra Grimal, Julie Fuchs, Antoine Tamestit, Henri Demarquette, etc.

Après un premier enregistrement chez Alpha consacré à Brahms qui a reçu tous les éloges, voici le duo réuni à nouveau pour un autre sommet de la musique de chambre : Schubert, avec la fameuse Sonate Arpeggione - du nom de cet instrument tombé en désuétude à mi-chemin entre la guitare et le violoncelle - et le non moins fameux Trio n°2 D. 929 rendu encore plus célèbre par le film de Stanley Kubrick, Barry Lindon. Pour cette pièce, le duo est rejoint par une grande musicienne avec laquelle ils aiment jouer, Antje Weithaas, une des pédagogues les plus recherchées par la jeune génération. (Electre)

Voici réunies deux oeuvres que Schubert compose à la toute fin de sa courte vie. Le Chant du cygne (Schwanengesang) est écrit à Vienne à l'automne 1828. Il s'éteint le 19 novembre à l'âge de 31 ans et on dit que Die Taubenpost (Le Pigeon voyageur), qui clôt le recueil, est sa toute dernière composition. Tour à tour légers, sombres et mélancoliques, ces quatorze Lieder ont été écrits sur des poèmes de Ludwig Rellstab, Heinrich Heine et Johann Gabriel Seidl. C'est dans le courant de l'été de la même année qu'il compose son Quintette à cordes en ut majeur, dit "Quintette à deux violoncelles", qui sera créé en 1850 au Musikverein de Vienne. La force et la dimension orchestrale de l'oeuvre en font un sommet de la musique de chambre du XIXe siècle. On ne pouvait rêver meilleurs instrumentistes et chanteur pour enregistrer ces deux monuments de Schubert. Le Schwanenlied de Fanny Mendelssohn (de Heinrich Heine également) complète le programme, ainsi que la Romance sans paroles nÊ1 pour piano de Felix Mendelssohn, composée un an après la mort de Schubert, et une version antérieure du Schwanengesang (D744) composée par Schubert, cette fois sur un poème de Johann Senn.