Dans les années 1950, une jeune femme, Edith Verneuil, est retrouvée morte dans sa luxueuse villa. Un enregistrement, dans lequel elle raconte ses souvenirs, apprend au commissaire Raffini qu'elle fuyait son entourage depuis l'achat d'un billet gagnant à la loterie nationale et qu'elle avait choisi ce lieu pour s'isoler. De macabres découvertes au sous-sol brouillent les pistes. ©Electre 2024

Dans le Paris des années cinquante, rôde un fou dangereux. Son hobby ? Tuer des inconnus à l'aide d'un instrument griffu : le bigos. Le Quai des Orfèvres est sur les dents ! Les tractions avant foncent et leurs pneus hurlent. Déjà, le commissaire Raffini et son adjoint Morlaine dégainent leur arme de service... (Quatrième de couverture)

Toute la France de la fin des années cinquante fait le même cauchemar : "l'Homme au bigos" n'est pas mort. Il surgit et entraîne le monde à sa suite, vers des abîmes terrifiants et morbides. Que signifie cette manipulation ? Qui provoque ces rêves et dans quel but ? Existerait-il une "Société du bigos" ? A nouveau, le commissaire Raffini et son adjoint Morlaine montent au créneau. (Quatrième de couverture)

Les assassins peuvent-ils être aimables et courtois ? Avoir du coeur ? Eprouver une sincère amitié pour leurs victimes ? Pourquoi les monstres seraient-ils tous épouvantables, barbouillés d'horreur et de sang ? Et s'il existait de "gentils" monstres ? ... Comment ce bon monsieur Théo, par exemple ? (Quatrième de couverture)