Tourné aux États-Unis, au Canada, en France, en Belgique ou encore en Bulgarie, No Gazaran part à la rencontre de ceux qui se battent quotidiennement contre l’exploitation du gaz de schiste : élus locaux ou européens, journalistes, mais aussi scientifiques, responsables d’associations, ingénieurs, médecins…

Pour raconter cette épopée, des centaines de clichés d'Edward S. Curtis ont été repris, lui qui, dès 1880, passa la majeure partie de sa vie à photographier les Indiens. De nombreux aspects de la vie des Indiens sont traités en profondeur : leur architecture sociale, la vénération de la nature, leur interprétation des rêves mais aussi leurs façons de se choisir et de s'aimer et de voyager dans l'autre monde. Le tout porté par le regard d'artistes contemporains, descendants de ces Indiens des Plaines, et par une analyse de Michel Petit, ethno-archéologue et André Delpuech,conservateur au musée du quai Branly. (source : Editeur)

Comment se réorganiser pour préparer nos champs et nos villes au triple défi des changements climatiques, du pic pétrolier et de la crise économique et financière ? A Cuba, en Angleterre comme en France, des alternatives en marche témoignent avec force d'une transition culturelle en cours. Une transition qui serait la préfiguration d'un futur au delà de l'insécurité alimentaire, des désastres écologiques et des aliénations dont nous souffrons actuellement. La transition dont parle ce film n'a rien d'une révolution abrupte et violente, mais davantage d'une évolution, lente et paisible, où nous nous inspirons de notre propre histoire.