Denis Diderot, qui met la dernière main à son Encyclopédie, se retrouve bien seul depuis la défection de d'Alembert. Et cette solitude n'est pas le moindre de ses soucis : le pouvoir, qui veut maintenir le bon peuple dans l'ignorance, a interdit l'ouvrage. Diderot est obligé d'écrire en catimini, et d'imprimer dans la clandestinité. Etait obligé. Car la main criminelle qui veut voir disparaître à tout jamais la grande oeuvre du philosophe ne recule devant rien : cette fois-ci, c'est de l'imprimeur dont on s'est débarrasé, tout simplement en l'assassinant... (4e de couverture)

En cet automne 1752, Denis Diderot sent s'essouffler autour de lui les collaborateurs de sa grande oeuvre, l'Encyclopédie. Même d'Alembert ne montre plus l'allant de jadis... Mais la Providence veille, et vient en aide à Diderot sous la forme de Clawdia Mangot, nièce de Rameau. Or ce dernier, défenseur de l'opéra français, n'a pas de plus grand ennemi que le philosophe, friand d'opéra italien. La querelle divise le Tout-Paris intellectuel, jusqu'au trône de Leurs Majestés... S'il est de bon ton de défendre ses idées à la pointe de l'épée, éliminer ses adversaires froidement n'est pas digne d'un gentilhomme. Et Diderot, qui voit les cadavres s'amonceler autour de lui, et de plus en plus convaincu de l'existence d'un adversaire décidé à gagner, coûte que coûte... (4e de couverture)

Un homme assassiné dans une maison isolée, sa femme accusée de l'avoir tué pour se venger, voilà un meurtre bien banal pour l'excellent avocat Perry Mason. Et pourtant, une curieuse découverte vient compliquer l'affaire. A quelques pas de la maison du crime, enterré dans le jardin, on retrouve un réveil qui retarde de vingt-cinq minutes. Qui a pu le dissimuler là et pourquoi ? Quel lien peut avoir cet objet avec l'assassinat ? Appartient-il à un proche de la victime ou à l'un de ses voisins, aux moeurs des plus étranges ? (4e de couverture)

Pendant qu'Hugh Chandor révise son droit criminel, sa charmante épouse, Sukie, escamote le cadavre d'un vétérinaire, grand castreur de matous.

Dans la prestigieuse université de Cambridge, le professeur Rainer Gräss est loin d'être apprécié de tous ses élèves. Lorsqu'il disparaît, les rumeurs vont bon train. Mais Rainer Gräss est vite retrouvé : son corps a été coulé dans le béton des fondations d'un nouveau bâtiment. Jamie Ramsgill, également professeur à Cambridge, sera d'une grande aide à la police qui est loin de penser que l'architecture puisse jouer un rôle aussi important dans ce meurtre. (Bibliotéca magazine)

Les inspecteurs Pline Matucchi et Marie-Jo Klein sont sur la brèche : le professeur Varennes, un futur prix Nobel, vient d'être assassiné. Avec son propre revolver, qui plus est. Séducteur invétéré, imbu de lui-même à l'extrême, pratiquant sans vergogne l'expérimentation animale, il n'avait pas que des amis. Mais ces petits défauts personnels, minimes, somme toute, justifient-ils à eux seuls une balle dans la tête tirée à bout portant ? Ou bien Varennes a-t-il payé le prix fort pour sa récente découverte sur les prions, ces particules protéiniques accusées de générer la fameuse "maladie de la vache folle" ? (4e de couverture)