L'énergie des guitares, les solos, la rythmique solide, les claviers toujours subtils et précis et ces fantastiques lignes de chant qui vous restent dans la tête toute la journée font de cet album un indispensable dans la discographie du groupe.

Les légendaires thrashers originaires de Belo Horizonte au Brésil sont de retour ici avec leur douzième album, encore plus 'roots bloody roots' que jamais.

Avec ce septième album, le groupe fait un nouveau pas en avant dans sa carrière. Swords songs montre une formation décidée à présenter le disque le plus épique qu'il ait jamais réalisé. On retrouve ainsi toujours cette écriture simple et directe chez Grand Magus mettant en valeur les riffs et les mélodies. Pas d'artifices de compositions, mais des arrangements fins et épurés. Les intros sont courtes, les couplets et les refrains s'enchaînent, montent en puissance, le tout magnifié par des solos concis et lumineux. (Electre)

Les thrashers new-yorkais ont décidé de remonter le niveau avec un album rempli de rage, de riffs acérés et de rythmiques massives afin de taper du poing sur la table et de montrer qu'ils ne sont pas prêts de raccrocher les gants. Puissant, frais et rageur, ils confirment leur très grande forme. Sur cet opus le groupe redéploie avec classe et panache son heavy thrash puissant et mélodique. (Electre)

All hell breaks loose, le premier album était né du désir de faire renaître avec la plus grande fidélité Thin Lizzy en studio. Avec Heavy fire le groupe s'est totalement affranchi de l'ombre de Thin Lizzy, on sent indéniablement des musiciens qui se connaîssent mieux et réussissent à davantage se lâcher tout en gardant le même niveau d'inspiration. (Electre)

Après avoir prouvé avec leur premier album qu'il était possible de s'inspirer du passé tout en apportant une touche personnelle très efficace, les Blues Pills se devaient de concrétiser tous les espoirs qu'un large public attendait d'eux. Autant dire que le pari est réussi avec ce deuxième effort dont la puissance et la grâce doivent autant à la voix mi-ange / mi-démon de la chanteuse Elin Larsson, qu'au groove endiablé distillé par l'ensemble du groupe. (Electre)

Retour du combo américain avec un concentré pur de groove métal moderne. (Electre)

C'est avec une régularité quasi métronomique que cette formation sort ses albums. Arrivé moins de deux ans après The hunt, Triumph and power ne fait pas exception. De la même manière, la recette du groupe n'a pas changé. Composées avec des structures classiques, les chansons épiques parsèment un album aux arrangements fins et épurés, pour mieux laisser paraître l'aspect épique et personnel de chaque titre. Grand Magus continue donc sa trajectoire ascendante en se renouvelant et en proposant un heavy metal inspiré et de grande classe. (Electre)

Troisième album du combo australien qui a vu le jour en 2005 à Sydney. Les rythmiques sont alambiquées et les blasts impressionnants, un style deathcore bien lourd particulièrement efficace. L'avènement de la scène djent et du mouvement deathcore progressif a vraiment poussé certaines formations "traditionnelles" à sortir quelque chose de plus construit qu'un simple agencement de breakdowns et de growls/screams. Le groupe va dans ce sens, empruntant tout autant à Carnifex et Whitechapel qu'à Slice The Cake et Veil of Maya. Thy Art is Murder s'avère être le chaînon manquant entre Job for a Cowboy et Nile. (Electre)

Quatre ans après The satanist, le groupe polonais opère son retour en grâce avec cet album. Varié, lourd et destructeur, il contient les éléments qui font le son, reconnaissable entre mille, de Behemoth, en mêlant classe et agressivité quasi-constante, tout en étant parsemé de nouveautés et de variations qui tiennent l'auditeur en haleine du début à la fin. L'écriture est toujours aussi soignée avec des transitions travaillées et des enchaînements amenés avec une évidence déconcertante. (Electre)

Une des raisons principales qui ont poussées Tuomas à faire une pause d'un an avec Nightwish, est qu'il avait le sentiment d'avoir atteint le sommet créatif absolu avec Endless forms most beautiful. Auri est donc le fruit d'une passion retrouvée. Même si des influences de musique celtique ou de musique folklorique se retrouvent dans cet album, la musique pourrait être décrite comme du "metal céleste". Une musique douce et merveilleuse pour un concept magique et envoûtant. (Electre)

Tour à tour jouant la carte de la césure rythmique, de la théâtralité, se faisant parfois velouté, hymnique ou franchement heavy, la formation suédoise est inspiré et se laisse guider par les flots sans poser de limites à son art, si ce n''est de garder ce côté mystique qui lui est propre.

Après quasiment 20 ans de carrière et pas moins de 10 albums studios à leur actif, les finlandais ont su s'inscrire en tant que référence parmi les groupes de death mélodique. Avec cet album, ils prouvent une fois de plus leur hégémonie au sein du genre en parvenant à combiner un sens très poussé de la mélodie avec la dureté du son.

C'est en 1996 que Tuomas Holopainen signe son premier contrat avec son tout nouveau groupe Nightwish grâce à sa démo 3 titres. Plus de vingt ans après, avec plus de 2 000 concerts à son actif et plus de 8 millions d'albums vendus, Nightwish est devenu le plus grand groupe de metal symphonique du monde. Une bonne raison pour Nuclear Blast de célébrer comme il se doit cet anniversaire exceptionnel en sortant cette compilation unique en version 2 CDs entièrement remasterisée. (Electre)

La légende du Thrash américain est ici de retour 27 ans après leur dernier album. Les deux membres fondateurs Vinnie LaBella (guitare) et Kyle Thomas (chant) sont accompagnés de Jason Viebrooks à la basse (Heathen), de Sasha Horn à la batterie (Forbidden) et de Marzi Montazeri à la guitare rythmique (ex-Superjoint Ritual, ex-Phil Anselmo & The The Illegals). Originaire de la Nouvelle Orléans, Exhorder est considéré comme l'inventeur du Groove Metal, le pionnier en matière de riffs incisifs à la Exodus et de feeling exceptionnel à la Pantera. (Electre)

Ce package cd/dvd contient de nombreux extraits live filmés lors de la tournée US de avec Cynic en 2009 ainsi qu'au Loudpark Festival à Tokyo en 2008. Le DVD contient également des passages filmés en backstage avec une attention toute particulière sur les jeux de guitare et de batterie.

Il va sans dire que la scène metal mondiale ne serait pas la même sans Sepultura. Depuis 35 ans, les brésiliens ne sont pas seulement un groupe vénéré dans le monde entier mais étaient et sont encore aujourd'hui à l'avant-garde du thrash metal et pionniers dans le domaine. Il n'y aurait aucune raison de sortir un album à moins d'avoir quelque chose nouveau à raconter. C'est le cas pour Quadra qui est le 15e album du groupe. Il est divisé en quatre parties : la première représente le côté thrash pur et brut, la deuxième apporte les rythmes et les percussions de l'époque des "Roots", la troisième est expérimentale et la quatrième et dernière partie apporte les mélodies et les guitares acoustiques. Sepultura revient en force explorant de nouvelles terres au plus profond d'un monde mystique. (Electre)

Très personnel, à l'identité bien affirmée, le quatrième album de la formation hollandaise séduit d'entrée de jeu par le chant lyrique de Simone Simons. Sa voix est plus juste que jamais, son champ d'action plus élargi, tout en étant capable d'être plus agressive, et d'apporter plus d'émotion à chaque morceau.