Le meilleur des deux décennies de Nightwish filmé lors d'un concert d'anthologie à Buenos Aires. Un moment unique pour les fans et pour le groupe avec des titres joués pour la dernière fois sur scène. Sorti en 2018, Decades était bien plus qu'un simple Best of, il s'agissait du meilleur des deux décennies du groupe, cela marquait également la fin d'une époque et le début d'une nouvelle ère pour Nightwish. La tournée qui allait suivre se devait d'être encore plus grandiose et allait couvrir 82 villes dans le monde entier. Filmé dans une ambiance indescriptible, le concert de Buenos Aires en Argentine représente un événement unique, à la fois grandiose et intense. (Electre)

Puissant et sombre, sans concession, épique et bien entendu virtuose ! Symphony X a clairement durci et simplifié sa musique : le groupe est à la croisée des chemins, entre un Dream Theater pour le côté prog et Malmsteen pour le côté technique. Underworld est donc encore une belle réussite, venant consolider une discographie déjà brillante par bien des aspects.

Get loud ! convient plus que jamais au titre du 12e album studio du groupe. Bien que le climat sociopolitique se soit considérablement transformé depuis la publication du United blood EP en 1983, les concepts de base de la corruption politique et des troubles sociaux se sont malheureusement décuplés et avec eux l'essence même de la révolte d'Agnostic Front. Get loud est composé de 14 morceaux qui sont tous des futurs grands classiques articulés autour des riffs efficaces et rageurs de Vinnie Stigma et la voix inimitable de Roger Miret. (Electre)

Tobias Sammet sort son huitième album concept inspiré par l'univers fantastique et les romans gothiques de l'époque victorienne d'Arthur Machen ou d'Algernon Blackwood. Sombre, effrayant mais incroyablement fascinant, Moonglow possède plus que jamais de grandes envolées symphoniques, des morceaux aux refrains efficaces, des choeurs convaincants, des soli de haute voltige et des orchestrations, discrètes mais du plus bel effet. Avec en invités spéciaux : Geoff Tate, premier chanteur de Queensryche, le chanteur de Pretty Maids, Ronnie Atkins, Michael Kiske de Helloween, Jorn Lande (ex-Masterplan), Eric Martin (Mr Big), Bob Catley de Magnum, Hansi Kürsch de Blind Guardian, Mille Petrozza de Kreator et la chanteuse de Blackmore's Night, Candice Night. (Electre)

Crobot possède des réminiscences de Queens of the Stone Age, Soudgarden, Clutch ou encore Kyuss. Le groupe officie en effet sur le créneau stoner rock en apportant sa touche d'originalité qui fait la différence avec les autres formations. Le combo américain réussit à se différencier notamment grâce à son chanteur et une qualité d'interprétation largement au-dessus de la moyenne. Des choeurs incendiaires, de bonnes guitares, des refrains énormes, un peu d'harmonica par moment, et toujours la puissante voix du chanteur. (Electre)

Un album puissant et inspiré, finement arrangé et très abouti d'un point de vue technique. (Electre)

Autant vous mettre tout de suite au parfum, Savage est l'album le plus brut et surtout le plus sombre de la discographie du groupe.

Un album magique, un album dangereux, à la fois organique et finement ciselé, un album avant-gardiste. Behemoth explore les horizons volcaniques d'un death metal à tendance black. Un mélange tonique et atmosphérique dévoilé depuis le début des années 2000. Comme d'habitude le son est absolument colossal (une production signée Daniel Bergstrand, et mixée par Colin Richardson), les riffs sont ultra techniques et la batterie est époustouflante. D'une homogénéité modèle, les neuf titres de cet opus démontrent toute la puissance et la maturité de ce groupe. Un style death orchestral et dynamique destiné à convaincre un auditoire de plus en plus nombreux.

Cet opus des finlandais est un voyage musical tellement agréable et transcendant qu'on ne peut s'empêcher d'acquiescer dès les premiers instants. Tomi Joutsen est un des plus grands chanteurs dans le monde du metal et il le démontre une nouvelle fois. L'album du sextet a été produit par Jens Bogren (Kreator, Amon Amarth), avec en invité spécial Chrigel Glanzmann (Eluveitie) ainsi que pour la première fois un orchestre et des choeurs. (Electre)

Il est impossible de parler de musique avant gardiste sans mentionner ce nom. C'est en effet le seul groupe qui arrive à manier avec brio des rythmiques extrêmement complexes aux influences death metal, thrash, mathcore et metal progressif pour ainsi créer son propre style. Avec cet opus, il arrive a nous étonner avec une musique toujours plus novatrice à laquelle on adhère dès la 1ère écoute.

Ne vous fiez pas à leur look kitsch 70's, Kadavar est bien un groupe actuel. Pourtant, leur musique s'inscrit en plein dans les années psychédéliques, le mighty Black Sabbath en porte-étendard. Le genre de très bon revival hard-rock / psyché / stoner / doom qui n'a pas à rougir de ses ainés. Ici, on ne s'embarrasse pas de fioritures. Et en l'espace de neuf titres, Kadavar dévoile un sacré potentiel. C'est rock, psychédélique et roots au possible. C'est bougrement efficace.

Le trio suédois propose un heavy métal nordique épique et majestueux basé sur des riffs efficaces, qui va à l'essentiel sans fioritures mais toujours avec qualité.

Les finlandais reviennent avec un album qui marque l'arrivée de la nouvelle chanteuse, Anette Olzon. Le groupe franchit une nouvelle étape et le résultat est tout simplement magnifique. Un disque remarquablement produit et enrichit de véritables parties symphoniques et de chours grandioses.

Né des cendres de Thin Lizzy, Black Star Riders, fièrement mené par le guitariste Scott Gorham, sort son deuxième album perpétuant la tradition du groupe irlandais.

Ce douzième album studio du groupe a été enregistré à Los Angeles avec l'aide du producteur Howard Benson (Mötorhead, Body Count, Sepultura). (Electre)

Telle la musique de Primus ou celle de Tool, le death-expérimental de la formation suédoise nécessite un temps d'écoute avec ses éléments barrés, ses hymnes à la rythmique impossible et toujours ses moments de grâce à qui saura s'y plonger. Complexe et même repoussante au premier abord la musique de cet opus n'en deviendra que plus limpide après de nombreuses écoutes. The violent sleep of reason représente l'équilibre parfait entre efficacité, ambiance, technique et feeling. Un niveau inhumain de maîtrise et de talent. (Electre)

Toujours aussi efficace le combo revient ici avec un treizième album encore plus puissant et inspiré que jamais et remplit largement son contrat en restant fidèle à son image et sa marque de fabrique mais s'aventure également vers d'autres horizons plus variés en sortant de sa zone de confort et en proposant des riffs parfois plus mélodiques et des ambiances symphoniques. (Electre)

La puissance de feu du géant du metal passionné d'histoire est de retour avec un neuvième album concept sous forme cette fois de contexte historique relatif à la Grande Guerre en s'inspirant du quotidien des soldats de la 2e Guerre Mondiale. Bataille après bataille, disque de platine après disque de platine, les maîtres du heavy explosif ont su conquérir un public de plus en plus large. Avec la sortie The Great War, le groupe fête en même temps son 20e anniversaire. Les suédois réussissent à nous entraîner dans une course folle avec des rebondissements imprévisibles et inédits. (Electre)

Le groupe d'Oakland, Californie, revient avec un 9e album, démontrant une fois de plus la pleine maîtrise de son talent. Le son est énorme et chaque titre est une véritable bombe à retardement. Leurs harmoniques typiques sont toujours bien présentes et Robb Flynn alterne avec brio un chant agressif avec des parties claires, mélodiques et envoutantes. Un album ambitieux, plus sombre plus puissant qui ne pourra laisser indifférent. (Electre)