Une très belle histoire d'amour située en Espagne, dans le tumulte de la guerre civile, entre 1937 et 1939. Récit plein de dignité, écrit dans un style simple et alerte.

Au Vatican, dans une ambiance de fin de règne - le pape est mourant et les tractations pour l'élection de son successeur vont bon train - le cardinal Luca Rossini est rattrapé par son passé amoureux, en la personne d'Isabel Ortega une femme argentine dont il a - mais il ne le sait pas encore - une fille de vingt-cinq ans. Après d'interminables discussions, durant lesquelles Rossini a retrouvé Isabel et découvert sa fille, ils ne sont plus que deux cardinaux en lice. Le matin du vote ultime, Rossini apprend la mort d'Isabel. Que va-t-il décider ? (Bibliotéca magazine)

Donatien Vernageau a choisi d'entrer dans les ordres : il sera prêtre missionnaire. Il est envoyé à la Dominique. Jeune, actif, simple et généreux, il est bien accueilli par la population. Il entreprend de construire une église en pierre pour remplacer la pauvre église en bois. Mais, il se laisse entraîner dans une relation charnelle. Et de sa liaison avec la belle Carita naît un garçon. (Livres Hebdo)

Situé dans le Paris des années 50 ce roman est l'histoire d'une rivalité amoureuse entre une mère âgée de 41 ans et sa fille, née quand elle avait 20 ans. Au centre du conflit, Victor, un bel aviateur. Pour lui, elles se déchirent, avant de se retrouver unies par une tendresse et une complicité qui leur avaient toujours fait défaut.

Roger Garaudy, né le 17 juillet 1913 à Marseille en France, est un universitaire, homme politique, philosophe et écrivain français. Directeur du Centre d'études marxistes, il en fut pendant des années le philosophe officiel du Parti, auteur notamment d'une thèse sur La Liberté à l'université de Moscou, sous Staline avant d'en être exclu en juin 1970, époque où il était en dissidence marxiste, proche des idées de Mai 68. Il devient alors catholique avant de se convertir en 1982 à l'islam. Il est l'auteur d'une cinquantaine de livres, traitant particulièrement de l'histoire et des grandes figures du communisme et de la religion. Titulaire d'un doctorat de philosophie avec une thèse sur la Théorie matérialiste de la connaissance (Sorbonne, 1953), il enseigna à l'université de Clermont-Ferrand, où il s'attira les foudres de Michel Foucault, qui le poursuivait de ses sarcasmes et le poussa à la démission, comme le raconte Didier Eribon dans la biographie de Foucault