Pour son deuxième album chez Decca, Julia Fischer a choisi d'enregistrer les 24 pièces les plus virtuoses du répertoire pour violon. D'une difficulté diabolique et d'une extrême virtuosité, les Caprices permettent à un violoniste de montrer de quoi il est capable et de conclure un concert de manière éblouissante

Cet album est la bande originale du fabuleux documentaire Africa mia qui nous raconte la merveilleuse et émouvante histoire du Mali des 60's à nos jours. (Electre)

Kent Nanago dédie son troisième album chez Decca Classics à l'ouvre de John Adams. Au programme, le chef d'orchestre propose son interprétation des plus grandes ouvres orchestrales du compositeur contemporain : Common tones in simple time, Harmonielehre et Short ride in a fast machine. (Electre)

Le trio de Denver revient avec un second album. (Electre)

S'ils jouent bien sur de véritables instruments, les membres de GoGo Penguin s'inspirent indéniablement des différents courants de la musique électronique, leur amour pour les bips de jeux d'arcade, les motifs rythmiques les plus surprenants, les mélodies hypnotiques à la Aphex Twin et les lignes de basses puissantes transparaissant à tout moment dans leur musique. Leur manière inimitable de mélanger thèmes de piano minimalistes, lignes de basse puissantes et parties de batteries sous influence electro leur a notamment valu d'être nommé au Mercury Prize et de séduire tant le public de Manchester que ceux de Montréal, Paris ou Londres. (Electre)

Forte de ses multiples influences musicales, la chanteuse est l'une des candidates les plus remarquées de la saison 4 de The Voice. Entre fragilité et force, sa personnalité si singulière et ses interprétations contrastées ont su séduire son coach Florent Pagny et le public français. Formation classique, musicologie, découverte du jazz, groupes et concepts, départ à New-York... Il y a en Anne Sila une soif d'intensité, un besoin d'excellence, qu'il est difficile de faire rentrer dans une case. Avec le langage de la pop, l'énergie du rock, et aussi un goût pour l'écriture, elle s'invente une place à part, et donne tout de suite envie de se laisser transporter. (Electre)

Dans le cadre des célébrations du 250ème anniversaire de Beethoven, Decca réédite l'ouvre-hommage de Pierre Henry. merveillé par le corpus des neuf symphonies de Beethoven, le pionnier de la musique concrète compose en 1979 sa Dixième Symphonie, créée la même année au Beethovenhalle de Bonn dans une version de près de deux heures. La Dixième est redonnée dans une version réduite neuf ans plus tard, d'abord au SIGMA de Bordeaux, puis à Paris, Salle Pleyel. L'ouvre choque le public parisien de la musique classique, imperméable à ce Beethoven puissance 10. (Electre)

Partons en voyage avec Ludovico Einaudi. Le compositeur italien fait paraître le coffret réussissant les sept albums de son projet Seven days walking - une longue ballade qui démarre par un thème, Day one, suivi par six albums de variations. Ce projet est la métaphore de notre quotidien en fonction de nos humeurs et de notre environnement. Dès les premières notes, le son propre au compositeur est reconnaissable : un mélange magnifique de cordes douces pour des mélodies hypnotiques. Composée pour piano, violon et violoncelle, Seven days walking offre un instant de méditation à son auditeur. La musique de Ludovico Einaudi est de celle que tout le monde connaît, consciemment ou inconsciemment. Elle a ému la France entière dans le film Intouchables, dans un instant clé de Mommy de Xavier Dolan ou encore, sur une vidéo au milieu des icebergs pour dénoncer le réchauffement climatique. (Electre)

Découvrez le premier enregistrement mondial d'une messe du XVIè siècle, dont la partition a été retrouvée récemment à Paris. Alessandro Striggio était un compositeur florentin (il fut au service des Médicis) célèbre pour sa virtuosité à composer pour plusieurs voix simultanées. Un bibliothécaire de Catherine de Médicis s'était trompé en cataloguant la partition de sa messe Ecco si beato giorno sous le nom de Strusco au lieu de Striggio et en la répertoriant comme une messe à 4 voix au lieu de 40. Cette partition fantôme dormait sur les rayonnages de la Bibliothèque Nationale de France depuis plus de quatre siècles jusqu'à ce que Davitt Moroney, musicologue et claveciniste anglais la retrouve à force de recherches et de persévérance.

Ce quatrième album apporte une nouvelle preuve irréfutable de l'importance de l'ouvre de Gregory Porter, l'artiste parvenant encore une fois à résoudre cette équation en apparence insoluble : être le porte-voix de notre époque tout en faisant preuve de la plus grande fidélité à l'égard de la tradition jazz et soul.