Ecologie, culture, économie solidaire... A l'heure où le modèle de l'Etat providence bat de l'aile, une région tout entière a pris son destin en main en multipliant les initiatives citoyennes. Reportage.

Insécurité, pollution, harcèlement, incivisme et cherté des services… Si autrefois les familles algériennes s’y rendaient pour se détendre, aujourd’hui les bords de mer sont devenus un lieu de stress.

Alors que la contestation des femmes contre le harcèlement et l'islamisme prend de l'ampleur, la plage de Tichy, en Kabylie, devient le rendez-vous de toutes celles et ceux qui veulent vivre des vacances libres.

Rencontre avec Karim Akouche qui signe "La religion de ma mère" (Ecriture), livre audacieux et puissant sur son pays, l'Algérie.

Face à une grave crise financière, Alger refuse de rogner les politiques sociales ou le train de vie de l’État, et fait tourner la planche à billets pour faire face à ses besoins.

Entre avocats de son maintien au pouvoir et partisans de sa démission, voire de sa destitution, le débat sur la capacité du président à exercer ses fonctions n'a jamais été aussi vif. Enquête.

Pour "sauver l'Etat de la faillite", le Premier ministre a opté pour la planche à billets. Au-delà de cette arme à double tranchant, quelles sont les mesures urgentes à prendre pour sortir du marasme ? L'avis des experts et des opérateurs privés.

Ils publient Kamel Daoud ou Kaouther Adimi, en lice pour les prix Médicis et Renaudot. A la tête de Barzakh, leur maison d'édition, et désormais d'une librairie à Alger, Sofiane Hadjadj et Selma Hellal n'ont de cesse de faire entendre les voix singulières de la scène littéraire algérienne. Un exploit dans un pays où le réseau de diffusion des livres est presque nul et la censure implacable.

"En attendant les hirondelles" confirme le talent de Karim Moussaoui, remarqué avec "Les Jours d'avant". Et propose un beau portrait, entre rêve et désenchantement, de l'Algérie d'aujourd'hui.

La liste des produits dans le collimateur des douaniers ne cesse de s’allonger. Destinée à redresser la balance commerciale, au moment où les réserves de devises s’amenuisent, cette politique de réglementation est à courte vue, estime ce chroniqueur.

Faut-il recourir aux hydrocarbures non conventionnels pour faire face à la crise financière née de l'effondrement des cours de l'or noir ? La question divise autant les hommes politiques que les experts.

Emmanuel Macron retourne le 6 décembre 2017 à Alger où il avait évoqué en février 2017 "la colonisation, crime contre l'humanité". Le débat fait toujours rage en France.