Les deux auteurs évoquent l'Histoire avec un grand H et plus encore son règne révolu, le premier, avec nostalgie, le second, avec mépris.

L'essayiste et théoricien rassemble dans un recueil tous ses écrits à la première personne, depuis ses fièvres de jeunesse jusqu'à aujourd'hui. Non sans autodérision.

Le regard de Régis Debray sur les imbrications ethnico-religieuses au Proche-Orient : drôle et instructif !

L'éditeur et théologien Jean-François Colosimo, proche de Régis Debray, salue la parution du "Carnet de route" dans la collection "Quarto" et cerne, pour "Marianne", les caractéristiques les plus marquantes de son oeuvre, entre philosophie engagée et littérature.

Pour l'essayiste Régis Debray, la "civilisation" américaine serait parvenue à phagocyter la culture européenne en imposant de nouveaux agents de prosélytisme, les GAFA (Google, Apple, Facebook, Amazon). Mais qu'en est-il en matière d'art ?

La revue de Régis Debray rend un hommage exceptionnel à la petite reine.

Après ses éducations amoureuse ("les Masques") et politique ("Loués soient nos seigneurs"), voici son éducation intellectuelle.

Ce livre est d'abord un reportage au Proche-Orient : Israël, territoires occupés de Palestine, Liban, Jordanie, qui à la fois tâche de coller au présent et, fidèle à son titre, s'intéresse de façon privilégiée à la "Terre sainte", dans le sillage des Evangiles.

Le numéro 4 des "Cahiers de médiologie", que dirige Régis Debray, est consacré au papier, son industrie, son éthique, sa mémoire, sa valeur, son pouvoir. Passionnant.

C'est une surprise : notre ex-grand intoxiqué de la politique est un des rares citoyens réveillés d'un pays sous hypnose. La nouvelle et son livre méritent d'être largement connus.