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Marketing stratégique

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Les corners s'affirment comme une tendance croissante dans la distribution française en 2021. Les enseignes s'invitent les unes chez les autres, nouant des partenariats entre elles afin de faciliter les achats de la clientèle. Plus de 800 initiatives de ce genre existent déjà. Toutefois, aucun modèle de référence ne se démarque encore vraiment et les distributeurs cherchent le meilleur compromis sur les questions de partage de l'espace, de visibilité, de programme fidélité ou encore de contrôle des stocks et de gestion des employés.
Numéros de page :
pp.6-9

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En perte de vitesse avant 2020, les conserves de légumes ont profité de la crise sanitaire et des épisodes de confinement pour se relancer en France. Le marché bondit de 11,6 % à 1,7 milliard d'euros, alors qu'il ne progressait plus que de 1 à 2 % les dernières années. Le secteur a profité de son côté pratique, mais aussi de l'engouement des Français pour le "manger mieux". Les légumes en conserve se sont alors imposés naturellement à eux, soutenus par des marques qui innovent sur le bio, les légumes secs ou les nouvelles recettes.
Numéros de page :
pp.36-37

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Avec Amazon, Jeff Bezos a construit un empire. Début 2021, le fondateur du géant américain de l'e-commerce a annoncé qu'il quittait son poste de directeur général, quelques années après être devenu l'homme le plus riche du monde, avec une fortune de près de 200 milliards de dollars. Sous sa direction, Amazon aura révolutionné le commerce en ligne, la livraison à domicile et la fidélisation des acheteurs avec son système Prime. L'entreprise sera aussi devenue un acteur majeur dans le secteur du cloud avec Amazon Web Services. Mais derrière ces succès se cachent une part plus sombre.
Numéros de page :
pp.2, 4

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Sur le modèle de ses homologues anglo-saxons, le musée parisien s'associe à un nombre grandissant d'objets siglés. Une manière de diversifier ses revenus, mis à mal par la pandémie, et d'étendre son rayonnement.
Numéros de page :
pp.53-55

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En progression de 5 % en 2020, à 7,9 milliards d'euros de CA, l'enseigne française de bricolage et d'amélioration de l'habitat Leroy Merlin a confirmé sa belle forme qui dure depuis plusieurs années. Malgré un déploiement physique limité, le groupe parvient à croître grâce à l'optimisation de sa logistique, l'accélération sur le digital et les ventes en ligne (7,5 % de son CA en 2020 contre 3 % en 2017), et le développement de nouvelles prestations de services pour les clients, notamment liées à l'habitat (décoration, rénovation, aménagement, etc.).
Numéros de page :
pp.18-20

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Ralentis à l'international par la crise de Covid-19, les grands acteurs de l'épicerie sucrée française, qui ont vendu pour 5,9 milliards d'euros à l'étranger en 2020, attendent désormais le retour à la normale. Ils comptent notamment sur le volet export du gouvernement, doté d'une enveloppe de 247 millions d'euros pour la période 2020-2022, pour repartir de l'avant. La boulangerie-pâtisserie, dont les ventes à l'international ont progressé de 25 % depuis 2015, s'avère particulièrement concernée et souhaite au plus vite retrouver son rythme de croissance.
Numéros de page :
pp.38-39, 42, 44, 46, 48, 50

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A la peine depuis quelques années, le marché français du rasage homme a été un peu plus mis en difficultés par la crise de Covid-19. Sur l'année 2020, les rasoirs reculent de 5,9 % à 284,6 millions d'euros, les produits moussants à raser de 8,9 % à 55,91 millions d'euros, les produits avant et après-rasage de 9,3 % à 26,97 millions d'euros. En revanche, les soins de la barbe ont résisté, +5 %, prouvant définitivement que la barbe est à la mode.
Numéros de page :
pp.56, 58

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Comme de nombreux produits alimentaires, le jambon a profité de la crise de Covid-19 pour croître. Le marché du jambon cuit progresse de 8,6 % à 1,9 milliard d'euros sur l'année 2020, celui du jambon cru de 5,3 % à 361 millions d'euros. Si les confinements ont joué en sa faveur, le secteur s'appuie aussi sur une valorisation continue de ses produits afin de séduire plus de clients. Le jambon sans antibiotiques ou sans nitrites rencontre le succès et séduit les consommateurs à la recherche de références plus saines.
Numéros de page :
pp.60-62

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Moins cher, meilleur pour l'environnement, le commerce de seconde main conquiert les Français en 2021. Près d'un achat non alimentaire sur dix en ligne concernait un article d'occasion en 2020, contre 3 % en 2017. La loi lutte aussi contre le gaspillage puisqu'à partir de 2022, la destruction des invendus non alimentaires sera interdite. Pour les enseignes françaises, tous les signes semblent ainsi réunis pour accélérer sur l'occasion et rivaliser avec les spécialistes que sont Le Bon Coin ou Vinted.
Numéros de page :
pp.6-11

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Face à des enseignes discount de plus en plus menaçantes, notamment Action, Carrefour passe à l'action. Le distributeur français a lancé à l'été 2020 dans plusieurs de ses hypermarchés "Le coin des bonnes affaires", un nouveau rayon centré sur les petits prix, les promotions et les achats plaisir. L'offre est variée, regroupant aussi bien des produits alimentaires, d'hygiène ou de loisirs, et émanant parfois de grandes marques, dont les références proviennent de l'étranger. 30 % de l'assortiment est changé tous les 15 jours pour que le rayon reste dynamique.
Numéros de page :
pp.14-15

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Le marché du fromage se porte très bien en France. Il a enregistré une croissance de 8,3 % en 2020, à 7,2 milliards d'euros. Les confinements ont joué en sa faveur, mais le secteur s'affichait déjà en progression lors des exercices précédents. Pour continuer sur cette lancée, les industriels misent sur le merchandising afin de clarifier l'offre et de se mettre en avant dans les rayons. Savencia opte pour une présentation par usage, Lactalis par grands pôles (râpés, bio et allégés, à déguster...).
Numéros de page :
pp.32-34, 36, 38-39

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Ca ne pourra pas être pire qu'en 2020 : voilà ce que se disent les chocolatiers à l'approche de Pâques 2021, après une chute des ventes de 27 %, à 214 millions d'euros, lors de l'exercice précédent en raison de la crise de Covid-19. Pour se relancer cette année, les marques misent surtout sur les produits rassurants, dont les classiques et les références pour enfants, qui ont déjà fait leur preuve par le passé.
Numéros de page :
pp.44, 46