Il y a cent ans, les Canadiens remportaient une victoire majeure de la Première Guerre mondiale. Hommage.

L'étoile du navigateur malouin a sérieusement pâli au Québec. Enquête sur un discrédit.

Le réalisateur québécois a mis plus de cinq ans à finaliser "Ma vie avec John F. Donovan". Pour "Le Point", il ouvre ses carnets et nous embarque dans les coulisses de ce film titanesque.

Dans le Nouveau-Brunswick, au Canada, la famille Irving contrôle tout. Pétrole, bois, usines, restauration, équipes sportives, journaux, chaînes de pharmacies ou de quincailleries, les membres de la famille Irving ont étendu leur influence à tous les domaines d'activités au fil des décennies. Un monopole tel que personne n'ose contester ces prises de décision tant les pressions derrière peuvent être fortes. Même l'Etat n'embête pas vraiment les Irving, à qui il verse des subventions et a cédé certains services afin de créer de l'emploi. Il profite même d'avantages fiscaux.

Il y a deux siècles, profitant des saisies révolutionnaires, l'abbé Desjardins envoyait au Québec un exceptionnel ensemble de peintures religieuses. En collaboration avec le Musée national des beaux-arts du Québec, le musée des Beaux-Arts de Rennes révèle la "collection" de ce singulier personnage.

Le 23 octobre 2017, les trois ordres de gouvernement canadien, fédéral, provincial et municipal, et Sidewalk Labs, filiale d'Alphabet, maison mère de Google, ont annoncé la construction à Toronto de Quayside, un quartier, « à partir d'Internet ». Il s'agit bien de bâtir un quartier nouveau, futur banc d'essai pour tester les technologies capables de rendre les villes plus intelligentes, plus vertes, plus inclusives, qui pourrait s'étendre à d'autres villes du pays.

Non, un dollar, ce n'est pas un dollar. Entre 1998 et 2000, un petit groupe citoyen a soutenu un dialogue avec le ministère des Finances du Québec pour peser sur les finances publiques depuis le bas de l'échelle sociale. Car un dollar de plus pour une personne en situation de pauvreté n'équivaut pas à un dollar de plus pour une personne plus riche. Pas de chiffres. Fait partie d'un dossier intitulé "Comment mesurer le bien vivre".

La troisième ville du Canada accueille à bras ouverts les salariés immigrés des entreprises américaines, qui fuient l'administration Trump. Un accélérateur pour l'économie locale.

Le panorama des cinéastes du Québec proposé ici par "L'AVC"ne vise en aucune manière l'exhaustivité, volontairement limités à vingt noms, alors qu'il aurait été bien facile d'en mettre le double. Le but est avant tout de proposer une sélection montrant la diversité du cinéma québécois contemporain, ce qui n'exclut pas un certain choix critique parmi les nombreux réalisateurs et réalisatrices en activité. A cet effet, "L'AVC" s'est intéressée à des cinéastes récents, parfois même quasiment débutants, sans pour autant négliger les grands noms actuellement en activité.

Proportionnellement à sa population, la France n'est plus, d'un point de vue quantitatif, la plus importante cinématographie francophone. En effet, depuis quelques années le Québec et ses huit millions d'habitants produisent une moyenne de 35 longs métrages de fiction par an tandis que la France, presque dix fois plus peuplée, en revendique moins de 300. Petit retour en arrière pour comprendre d'où provient le dynamisme d'une cinématographie née il y a seulement 60 ans.

La Confédération canadienne fête ses 150 ans. L'occasion de réviser son histoire, intimement liée à celle de notre pays.

Ljubica Milicevic,poète et romancière, est née à Zemun (ex-Yougoslavie et actuelle Serbie) en 1949 et vit depuis quatre décennies au Québec. Dans son pays d-' accueil, elle a fait des études de philosophie classique et moderne, de religion comparée et de littérature. Elle écrit, en anglais, de la poésie, pour laquelle elle a obtenu plusieurs prix, et, en langue française, des romans et des récits.