Près de 2 milliards de personnes, selon divers organismes spécialisés, utilisent un réseau social en ligne. Soit un quart de la population mondiale, ce qui génère chaque jour des milliards de données. Une masse d'informations considérable qui a permis l'émergence d'une science des réseaux sociaux, au centre de laquelle trônent les géants du Net, Facebook et Google en tête. Forts de moyens matériels et financiers faramineux, ils recrutent les meilleurs spécialistes mondiaux de l'intelligence artificielle. Demain, cette discipline leur permettra de proposer des applications bien concrètes.

L'entrée en Bourse de Facebook en mai 2012 a pris les allures d'un fiasco pour les investisseurs. En cause, des défaillances du système informatique. Que s'est-il passé ?

Sur le plus populaire des réseaux sociaux, c'est ainsi, (et d'un simple clic) que l'on marque son approbation, symbolisée par un pouce levé. Un geste qui ne nous engage vraiment à rien ?

Pour son entrée en Bourse, le champion des réseaux sociaux, Facebook, a annoncé vouloir lever cinq milliards de dollars. L'opération, qui pourrait intervenir en mai, devrait valoriser l'entreprise entre soixante-quinze et cent milliards de dollars, un record pour une société de l'économie numérique. Impressionné par ″la puissance″ de Facebook, le magazine britannique ″The Economist″ s'est agacé que les investisseurs pensent ″qu'une start-up gérée par un geek de vingt-sept ans a plus de valeur que Boeing, le plus grand fabricant d'avions du monde″.

Mille ami (e)s virtuel (le)s, cent façons de t'afficher sur ton profil, échanges en tous genres... Okapi décode le monde étrange de Facebook et te donne des trucs pour y être tranquille.