L'agriculture connaît une révolution technologique. Drones et capteurs permettent de piloter les exploitations depuis un smartphone.

Ils peuplent nos intérieurs. Ils nous entourent, nous entendent et savent, dans leurs dernières évolutions, reconnaître nos visages ou se mouvoir par eux-mêmes. Faut-il en avoir peur ? Sont-ils vraiment intelligents ? Comment doit-on leur parler ?

Les cambrioleurs n'ont qu'à bien se tenir. Pour quelques centaines d'euros, il est facile de guetter les tentatives d'intrusion.

L'avènement de la cinquième génération de téléphonie mobile relance le débat sur la nocivité des ondes électromagnétiques.

Nombre de pas, rythme cardiaque, alimentation... Aujourd'hui, montres connectées et balances équipées de capteurs consignent notre activité physique en temps réel. Tout n'irait pas si mal si ces gadgets ne nous poussaient pas à croire que ça ne va pas si bien.

Assaisonner ses plats de basilic maison quand on vit dans un studio ? C'est possible, assurent ces appareils. Nous avons voulu vérifier s'ils tenaient leur promesse.

Nos foyers seront économes, durables et, surtout connectés. Une révolution en phase avec la demande d'une nouvelle génération d'utilisateurs.

L'intelligence artificielle est entrée de plain pied dans les maisons et les appartements. Et la domotique devient un outil stratégique pour envisager l'habitat du futur.

Notre usage quotidien du web et des objets connectés produit une quantité énorme de données et de traces numériques, qui constituent la matière première d'un monde gouverné par des algorithmes, des capteurs intelligents et des technologies numériques. Connaître cet univers est le premier pas pour se protéger et en tirer le meilleur parti. L'exposition « Terra Data, nos vies à l'ère du numérique » permet de décrypter ce nouveau monde que nous sommes en train de construire.

Apple, Amazon et Google se battent pour placer leur assistant vocal intelligent dans les foyers américains et européens. Un nouveau moyen, pour les géants du numérique, d'accéder à la porte d'entrée de nos vies connectées.

De plus en plus d'appareils connectés proposent de décoder nos émotions sur nos visages ou dans notre voix. Pur charlatanisme, ou pente glissante vers une commercialisation de l'affect ?