Le sauvetage de l'euro a un prix, la convergence imposée des politiques économiques des Etats.

Le choix de l'Allemagne de sortir du nucléaire est légitime. Son cavalier seul fragilise l'Europe politique.

Discipline budgétaire sans faille et sanctions contre les contrevenants.

Le coup de pouce de la chancelière à Nicolas Sarkozy. A double tranchant.

La rencontre devait être cordiale, elle le fut, puisque les vrais sujets restent sous le tapis.

Officiellement, la chancelière et le président agissent de concert, d'égal à égal. Mais pour la presse espagnole, il ne fait pas de doute que l'Allemande donne le la. Surtout depuis que la zone euro s'enfonce dans la crise.

Arrivée au pouvoir sans vision européenne, la chancelière allemande avance désormais à marche forcée vers la formation d'un noyau dur de la zone euro. Une avancée salutaire, selon la presse économique d'outre-Rhin.

Les élections qui se succèdent en Allemagne placent la chancelière dans une position plus confortable que prévu. Le Parti des pirates, qui s'impose partout en région, est la clé de son succès.

Au sommet de sa popularité, la chancelière allemande paraît promise à un troisième mandat. La presse européenne n'en revient pas. Portrait d'un phénomène politique.

A quelques jours des élections générales du 22 septembre 2013, la chancelière sortante, favorite du scrutin, s'affiche sûre d'elle, à l'image de son pays, dopé par sa bonne santé économique.

L'éclatante victoire de la chancelière, le 22 septembre 2013, fait entrer l'Allemagne dans ″l'ère Merkel″. Un pouvoir fort, sans démonstration de force, mais non sans faiblesse, car la CDU repose tout entière sur Angela Merkel.

Merkel agace quand elle décide l'austérité, elle irrite quand elle annonce la relance. En attendant, la vista made in Germany fonctionne... sans la France.