Peut-il encore gagner ? Après Emmanuel Macron, c'est au tour de François Fillon de se soumettre à l'entretien crash-test de Franz-Olivier Giesbert. Le candidat de la droite a moins de trois semaines pour refaire son retard et éteindre les doutes qui se font entendre dans son camp. Sommaire. Fillon se met à table. François Sureau, l'étonnant confident. A la poursuite des électeurs perdus. Ces soutiens qui grognent. Fillon, l'héritier caché de Falloux.

M. Jean-Luc Mélenchon vainqueur de la présidentielle ! Voilà ce qui aurait pu se produire si les électeurs avaient attribué des notes à chaque candidat plutôt que d’en choisir un seul. M. Emmanuel Macron l’aurait tout de même emporté avec d’autres types de scrutin. Au-delà de ces résultats, une meilleure prise en compte des souhaits des citoyens intéresse les chercheurs.

En cas de victoire à la présidentielle, quelle serait la majorité de l'ancien ministre de l'Economie ? Comment pourrait-il faire voter ses réformes ? Quelle place accorderait-il aux amis de Bayrou, aux personnalités du PS et à ses soutiens de droite ? Sommaire. Macron peut-il gouverner ? Les sept familles de Macron. Le "macronisme" est un optimisme. "Son projet, c'est l'équité plutôt que l'égalité", entretien avec Marcel Gauchet. Le fief de Hollande bientôt "En marche" ?

Ils sont pour la plupart retraités et ont conscience d'appartenir à cette génération dorée des Trente Glorieuses. Entre deux petits plaisirs en thalasso, ils s'inquiètent pour l'avenir des jeunes. Et se confient sur leur vote.

Ils sont jeunes, ils ont participé à la primaire des Républicains en novembre, et pourtant les voilà séduits par le candidat de La France insoumise. Florilège.

Nouvelles fractures, clivage gauche-droite, candidats antisystème, populisme, abstention, défiance et post-vérité : Pierre Rosanvallon analyse pour ''l'Obs" les enjeux de la campagne.

Ces anciens LR tissent minutieusement leur toile. Six mois seulement après la réélection d'Emmanuel Macron, la guerre de succession est lancée.

L’élection clé de la Ve République atteint toujours des taux de participation élevés mais son impact sur nos institutions et notre culture politique est de plus en plus contesté. Faut-il en finir avec ce scrutin ?

A six mois de l’élection présidentielle en France, l’extrême droite monopolise la scène médiatique et politique. Ses deux candidats potentiels, Mme Marine Le Pen et l’éditorialiste xénophobe Eric Zemmour, totalisent 35 % des intentions de vote dans les sondages – une situation inédite. Profitant de l’atonie et de la dispersion des forces de gauche, ils imposent leurs thèmes. Parmi ceux-ci, entre le "grand remplacement" et la menace islamiste, la préférence nationale occupe une place de choix.

L'ancien Premier ministre se déclare officiellement au "Point" et sonne l'alarme face au risque de l'immobilisme et aux périls démocratique, budgétaire, sécuritaire qui menacent la France.