Alors que la crise Covid a mis au jour de nombreuses dépendances des Etats occidentaux, et en particulier européens, à l’égard de biens et matières stratégiques massivement produits en Chine, et que la rivalité sino-étatsunienne fait régulièrement la une de l’actualité, un rapport publié par l’IRSEM cet automne a fait grand bruit en France. Il porte sur les "opérations d’influence chinoises", autrement dit sur la façon dont Pékin s’immisce dans les entreprises, organisations et institutions étrangères pour asseoir son image et défendre ses intérêts.

Octobre 1967 : en pleine Révolution culturelle s’éteint à Pékin celui qui, après avoir régné sur l’empire du Milieu, est devenu un anonyme pion du régime. Il avait abdiqué, enfant, en février 1912, il y a tout juste cent dix ans.

Du bras de fer qui oppose les deux puissances, l'Europe peut tirer profit. A condition qu'elle se réveille et fasse bloc. Sommaire. La Stasi resurgit à Hongkong. John Bolton : "Nous commençons seulement à comprendre le plan de Pékin". Et si la Chine ne menaçait pas l'ordre mondial ? Guerre technologique, le "moment TikTok". Joseph Wu : "Taïwan n'est pas le seul pays visé par la Chine".

Pour le politologue américain, spécialiste des relations entre la Chine et les Etats-Unis, l’empire du Milieu ne saurait rivaliser avec l'Amérique et encore moins la détrôner.

Les deux géants de l'Asie ont longtemps eu des rapports conflictuels. La guerre en Ukraine a rendu leur relation complexe et ambiguë.

Dans « Le léopard de Kubilai Khan », le Canadien Timothy Brook raconte les contacts et les échanges, du XIIIe siècle à nos jours, de cet empire hors norme qui s'est toujours vu comme la « place centrale sous le Ciel ».

L'analyse de l'ex-chef du gouvernement australien, l'un des meilleurs connaisseurs de Pékin et du président chinois.

Au regard de la résistance que l'Ukraine oppose à la Russie, toutes les issues sont envisageables en cas d'attaque contre l'île. Un échec pourrait coûter très cher au régime communiste. Evaluation des forces en présence.

Derrière sa neutralité de façade, Pékiin apporte un soutien implicite à Moscou, avec pour horizon la lutte stratégique contre les Etats-Unis et Taïwan.

Longtemps absent du pays andin, le géant asiatique s'implante à coups de grands projets d'infrastructures. Ce qui inquiète Washington.

Pour l'ancien patron de Google, la technologie, aujourd'hui au coeur de la puissance militaire, déterminera la compétition entre l'Amérique et la Chine.