Comme en littérature, il existe des légendes en politique. L'une des plus célèbres en France est celle qui décrit le récent déclin électoral du Parti communiste français (PCF). Selon la légende, il s'agirait d'une lente descente aux Enfers amorcée dans les années soixante-dix, due à l'échec historique du communisme, et qui se serait accélérée suite à l'effondrement du bloc de l'Est.

Il avait tout d'un représentant de l'ancien monde. Et pourtant ! Le hollandais Jean-Yves Le Drian, ministre des Affaires étrangères, s'est rendu indispensable auprès d'Emmanuel Macron.

Le président Emmanuel Macron a pris quelque distance avec les orientations néoconservatrices de ses deux prédécesseurs en matière de politique étrangère. Après une campagne marquée de manière inédite par les questions diplomatiques, cette apparente inflexion souligne la singularité de la position française, baptisée « gaullo-mitterrandisme ».

La France, et ses entreprises, sont désormais concurrencées sur le territoire africain par la Chine, l'Inde ou encore la Turquie. Dans ce contexte, elles tentent de sortir du pré carré formé par les anciennes colonies. Mais en ont-elles pour autant terminé avec la connivence qui les liait aux régimes autoritaires "amis de la France "? Explications et détails. Données chiffrées.

Proche de la droite, le mystérieux intermédiaire a été arrêté à Londres. Il fuyait la justice, qui veut l'entendre sur l'éventuel financement libyen de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy. Récit.

Jusqu'à la chute du mur de Berlin, l'Internationale communiste passait par Paris. Aujourd'hui, le FN revendique son alliance avec la Russie poutinienne.

C'est le paradoxe de cette élection : jamais la gauche n'a été aussi fracturée, pourtant elle n'a jamais autant pesé dans le débat présidentiel. Pas moins de trois candidats se disputent son leadership. "L'Obs" a comparé leurs programmes. Sommaire. Le comparatif des programmes. Programmes : 4 questions clés. L'euro, point de discorde. Mélenchon ou la paix du ... Kremlin. Petit vote entre amis. Le test : êtes-vous plutôt Macron, Mélenchon ou ... Hamon ?

Nous faisons tous le même constat : celui de vivre une phase de transformation accélérée des grands équilibres géopolitiques, de vivre une redistribution de la puissance à l'échelle globale, de vivre en fait une situation où le système international est entré en quelque sorte en révolution. Et il me semble - je peux le dire sans verser dans un pessimisme excessif - que jamais, depuis la fin de la guerre froide, les divergences, les tensions, le niveau de conflictualité n'ont été aussi élevés dans un monde pourtant plus interdépendant que jamais.

Le renversement des alliances de 1756 fut-il une révolution diplomatique mettant un terme au séculaire antagonisme entre les Valois puis les Bourbons, et la maison d'Autriche ? Dans les faits, le lobby anti-autrichien ne désarma pas. Au lendemain de la guerre de Sept ans, pendant laquelle l'engagement militaire de la France sur le continent avait été limité, les réticences françaises, clairement exprimées par le ministre Vergennes, se muèrent en franche hostilité en réponse aux initiatives "expansionnistes" de Joseph II. Au terme du règne de Louis XVI, l'alliance n'avait plus aucune réalité.

Fédéraliser la zone euro est une idée ancienne. Depuis peu, celle-ci est toutefois de nouveau à l'ordre du jour, portée en particulier par le président français, Emmanuel Macron. Partant de la notion de fédération dans l’intégration européenne, l'article propose une analyse critique et contextualisée des différentes propositions nationales et européennes, entre fédéralisation des compétences et participation des citoyens.