"La vie (titre provisoire)", il s'agit bien du titre définitif. "La vie" ne peut être qu'un titre provisoire car inéluctable. François Morel a écrit pratiquement tous les textes, la plupart fin 2015, "suite à la gravité des évènements que nous avons subis". C'est Antoine Sahler, musicien fidèle avec lequel il collabore, qui a écrit la plupart des musiques, arrangé et réalisé les 18 chansons originales. (Electre)

Après une carrière déjà longue, parfois cabossée, Miossec surprend et nous séduit avec classe à nouveau avec ce dixième album, opus lumineux où une certaine simplicité d'artifice s'accompagne d'une élégance juste et d'une grande plume. Il continue sa quête d'essentiel, d'épure, rien ici n'est bavard ou gratuit. On est sur l'émotion humaine "à la pointe du couteau". On écoute et on lit souvent entre les lignes... (Electre)

Formé en 2001, avec six albums à son actif, Riverside s'est solidement installé depuis dans la hiérarchie des meilleurs groupes de prog-rock ! Une rétrospective instrumentale reprenant des titres rares ou inédits ainsi que quatre nouveaux morceaux. Un moment magique et unique que les fans écouteront en boucle sans se lasser une seconde avec un plaisir sans cesse renouvelé. (Electre)

Composé 25 ans après le célèbre chef-d'oeuvre de Pergolèse, de formation identique, le Stabat Mater de Nicola Logroscino (prononcer "Logròscino"), s'inscrit dans une longue lignée de compositions engendrées par l'cole Napolitaine sur le modèle d'Alessandro Scarlatti (1723). Bien qu'inspirée par d'illustres précédents, cette oeuvre s'en distingue par sa forte vocation théâtrale, due à la longue expérience de l'auteur dans le genre de l'opéra, surtout comique, dont il fut l'un des grands protagonistes jusqu'à la moitié du XVIIIè siècle. Son Stabat Mater consiste donc en un véritable concentré de style d'opéra, dans lequel des airs de grande ampleur s'alternent à de vifs duos, de cadence et d'origine presque populaire, et à des récitatifs secs et essentiels. (Electre)

L'opéra Serse est l'un des plus populaires du compositeur allemand. Ecrit pour un castrat, il est ici interprété sur scène par des mezzo-sopranos ou, plus rarement, par des contreténors. Au disque, Franco Fagioli est le premier contreténor à revêtir ce rôle. Adulé pour son album studio consacré à Händel, et surtout pour son interprétation de l'air Ombra mai fu, Fagioli offre aujourd'hui un enregistrement entier de l'ouvre et livre une prestation haendélienne à mi-chemin entre tragique et comique. (Electre)

Revisitant le patrimoine traditionnel de la République de Touva, les quatre chanteurs et polyinstrumentistes tissent avec brio une tapisserie sonore intemporelle où on retrouve des formes musicales venues du fond des âges, mais aussi des accents modernes, à tel point que l'on pense par instants aussi bien à Arvo Pärt qu'à Tortoise. Il ne s'agit pas de musique ethnique, et encore moins de world music. Nous sommes au coeur de l'un des innombrables courants de l'éternelle Rivière du Son. On ne ressort pas indemne de cette écoute ; elle appelle au tréfonds de notre humanité, au sentiment d'appartenance à la grande famille du vivant : les hommes, les animaux, les forêts, les montagnes, les fleuves...

Durant l'été 2010, Vanessa Paradis a proposé une série de vingt concerts acoustiques en France. Pour la première fois, ses plus grandes chansons, de Joe le taxi à Divine idylle, étaient revisitées avec huit musiciens acoustiques dont un quatuor à cordes. Vous retrouvez ici l'intégralité du concert donné à l'Opéra Royal du Château de Versailles, le 11 juillet 2010.

Le chanteur franco-italien est ici accompagné pour la première fois de sa fille Amélie, de sa fan de toujours Chantal Lauby, de la jeune soprano Anne-Catherine Gilet mais aussi, plus surprenant, du rappeur Oxmo Puccino.

Le jeune ténor revient avec un disque en italien, mêlant compositions originales et reprises d''airs du Bel Canto ou d''artistes de variété.

Comus nous invite à écouter le côté le plus sombre du folk-rock anglais des années 60. Le groupe a perpétuellement repoussé les frontières du folk en y intégrant des sonorités psychédéliques et acid-rock.

Le contre-ténor continue d'explorer le mythe d'Orphée avec cet enregistrement en première mondiale du célèbre opéra de Gluck, Orphée et Eurydice, inspiré de l'un des mythes grecs les plus connus. Inclus le fameux air d'Orphée, Che faro senza Euridice. Cette version encore inédite au disque fut donnée pour la première fois au Palais Royal de Naples en 1774. Les sopranos Amanda Forsythe dans le rôle d'Eurydice et Emöke Barath dans celui d'Amour complètent ce sublime trio vocal. Les virtuoses d'I Barocchisti, l'élégante baguette de Diego Fasolis et le choeur de la Radio Télévision Suisse Italienne accompagnent à merveille les trois chanteurs pour un voyage universel où se conjuguent l'amour et la mort. (Electre)