Dans la famille Portokalos, tout le monde s'inquiète pour Toula. A trente ans, celle-ci n'est toujours pas mariée et n'a même pas de petit ami. Il est temps pour cette jeune femme, tiraillée entre ses doutes et une famille étouffante, de tracer sa propre voie. Toula travaille à l'agence de voyages de sa tante. C'est là qu'elle fait la rencontre du séduisant Ian Miller, qui a toutes les qualités, sauf celle d'être d'ascendance grecque. Entre les deux jeunes gens, c'est bientôt le grand amour. Toula, qui n'a jamais été aussi heureuse, va devoir faire accepter auprès de sa famille son futur époux, et ceci malgré les différences culturelles et les préjugés. (Allociné.com)

Londres, par une froide et triste nuit d'hiver... A minuit, au sortir d'une soirée chic copieusement arrosée, Kate guette vainement un taxi avant de se résoudre à prendre le dernier métro. Sous l'effet de l'alcool, la jeune femme ne tarde pas à s'assoupir. A son réveil, la rame est déserte... Affolée, Kate se dirige vers la sortie, mais les grilles sont déjà fermées. Un train s'arrête alors, elle y monte, quelque peu inquiète d'en être la seule occupante. Au beau milieu du tunnel, le convoi s'arrête brutalement, toutes les lumières s'éteignent... Et le cauchemar commence...

Tanguy, qui a maintenant 44 ans, est dévasté car sa femme Meï Lin l'a largué. Avec sa fille adolescente Zhu sous les bras, il emménage de nouveau chez ses parents. Catastrophés de voir leur "tout-petit" dans cet état, Paul et Édith font tout pour lui redonner goût à la vie, sans réaliser que ce faisant, ils tressent la corde pour se pendre. Car Tanguy et Zhu ne prévoient de quitter le nid familial de sitôt

Dean Corso et son associé Bernie, propriétaire d'une librairie, sont des experts en livres anciens. Dean est alors engagé par Boris Balkan, un éminent bibliophile féru de démonologie, qui souhaite acquérir l'un des deux derniers exemplaire de "Les neufs portes du Royaume des ombres", ouvrage de démonologie qui aurait été écrit en 1666 par Aristide Torchia, assisté du diable en personne, et dont les illustrations seules devraient permettre d'évoquer le diable. Corso est chargé par Balkan d'authentifier et de choisir pour lui le meilleur des deux exemplaires. Corso, quoique septique, dispose d'un budget illimité et on lui fait bien comprendre que tout les moyens doivent être mis en oeuvre pour satisfaire le collectionneur. Il s'enfonce alors dans un dédale de pièges, de violence et de morts au bout duquel il comprendra le véritable enjeux de sa mission...