Centres d'hébergement -- France -- Paris (France)
Article
Bulletin : Les Inrockuptibles 697 - avril 2009
Auteur en 1992 d'un livre sur les sans-abri au Royaume-Uni, l'écrivain irlandais a lui aussi vécu dans la rue.
Détails
Numéros de page :
6 p. / p. 28-35
Article
Auteurs
Lacheref, Isabelle Auteur du texte
Bulletin : <>Ecole des parents 597 - juillet 2012
Date parution pério
2012-07-01
C'est un lieu de convivialité où les blessés de la vie apprennent à recréer du lien. Accompagnés par des professionnels, ils y pratiquent différentes activités qui leur permettent de partager leur souffrance avec d'autres. Et de la dépasser.
Détails
Numéros de page :
2 p. / p. 46-47
Article
Auteurs
Bulletin : Le Nouvel observateur 2300 - décembre 2008
Date parution pério
2008-12-04
Ils meurent de froid plutôt que d'aller dans les centres d'hébergement. D'où l'idée des foyers de stabilisation où on les accueille sans limitation de durée
Détails
Numéros de page :
2 p. / p. 104-106
Article
Auteurs
Arteta, Stéphane Auteur du texte
Bulletin : Le Nouvel observateur 2439 - août 2011
Date parution pério
2011-08-04
En démissionnant de la présidence du Samu social, Xavier Emmanuelli entend attirer l'attention sur la situation tragique du système d'hébergement. Centres publics, foyers associatifs, hôtels à bon marché: toutes les structures explosent. Etat des lieux.
Détails
Numéros de page :
3 p. / p. 52-54
Article
Auteurs
Blézat, Mathilde Auteur du texte
Bulletin : Z 11 - janvier 2017
Date parution pério
2017-01-01
Depuis 2015, les autorités mènent de vastes opérations de relogement des exilé·es qui campent dans les rues de la capitale. Enquête, de La Chapelle à Aubervilliers, dans les méandres de ces nouveaux dispositifs d'hébergement, clés de voûte de la rationalisation du tri des exilé·es et du refus de droits.
Article
Auteurs
Lochard, Anne Auteur du texte
Bulletin : Z 11 - janvier 2017
Date parution pério
2017-01-01
En 2015, les campements des exilé·es se sont multipliés dans le nord de la capitale, résistant tant bien que mal à la bruine de l'hiver, à l'indifférence des passant·es, aux lacrymos et aux savates des forces de l'ordre. Petit à petit, la ville les a repoussé·es toujours plus loin à ses marges. De coins de trottoir en bouts de square, en passant par des lycées abandonnés, il a fallut à chaque nouvelle errance, arracher de nouveaux espaces. Une lutte de territoire heureusement amplifiée par une multitude de coups de main anonymes.