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Couperin sans fard ni perruque

Numéros de page :
2 p. / p. 78-79
Oubliez le François Couperin que l'on écoute languissamment en rêvant de Watteau. Le jeu de Blandine Verlet propose en effet un portrait sans dentelles d'un compositeur qu'elle aime depuis toujours.
Note Générale :