Gaël Duval, a lancé en 2013 le lobby "French Touch", en plein mouvement de french bashing sur l’écosystème technologique français, qui est devenu depuis une vraie conférence business orientée sur l’innovation, la technologie et l’entrepreneuriat, avec une forte visibilité. Il a ainsi à son actif 15 millions d’euros de levés pour des start-up et des entreprises financées par des fonds d’investissement présents à New York. Vulgarisateur de la transformation digital des entreprises, Gaël Duval plaide avant tout pour des périodes d’expérimentation à l’anglo-saxonne avant de légiférer, et pour une régulation par la dissuasion, via de fortes et rapides sanctions en cas de fautes manifestes. En attendant, il déplore pour les start-up, une pénurie de candidats, et parle d’un "chômage négatif". Explications. Peu de chiffres.