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Tombé pour Alstom, Frédéric Pierucci veut sauver l'industrie française

Numéros de page :
pp.11-12
À la place de Frédéric pierucci, ils seraient nombreux à ne plus vouloir entendre parler de l’affaire. Ni du groupe français Alstom, dont il était un des cadres dirigeants, ni du concurrent américain General Electric (GE). Au lieu de quoi, depuis sa libération, en septembre 2018, il nourrit les mêmes obsessions. Son projet de réinsertion ne manque ni de panache ni de cohérence : racheter à GE le pôle nucléaire d’Alstom.