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Montesquieu ou les infortunes de la vertu

Numéros de page :
14 p. / p. 31-44
Dans "l'Esprit des lois", Montesquieu fait de la corruption l'un des concepts majeurs de sa philosophie politique, en refusant pourtant de confondre corruption morale et corruption politique. Car la corruption, loin d'être une perversion intrinsèque de la volonté, est une altération du principe d'un régime. Mais c'est bien la volonté politique qui peut seule en empêcher la progression...
Note Générale : Fait partie d'un dossier de 6 articles intitulé "La corruption, maladie de la démocratie".