Le "seum" des jeunes
récits d'une politisation multiple
Numéros de page :
64 p. / p. 8-71 : ill.
Porté·es aux nues par l’engagement climatique d’une partie de la jeunesse belge en 2019, les jeunes sont bien vite redevenu·es l’objet de critiques portant sur leurs supposés désengagement, désenchantement et égoïsme générationnel, des critiques notamment entendues tout au long des premières vagues de la pandémie de coronavirus. Ce stéréotype a la vie dure.
Un dossier qui invite donc à redéfinir la politique et le rapport à la politique, à mettre en lumière les formes de politisation plus quotidiennes et invisibles, voire invisibilisées.
Note Contenu : "La| radicalité de protestation s’est diffusée au sein de la jeunesse".
Quand la précarité étudiante impacte l’émancipation individuelle et collective.
Les| syndicats, un truc de vieux ?
Crise à la Fef : un air de déjà-vu.
Comment renouer le lien des jeunes avec la politique ?
"Il existe, en Belgique, une tradition de grève à l’école".
"Si vous n’êtes pas en colère, c’est que vous ne faites pas attention".
"Au sein du mouvement climat, seule une petite partie des jeunes s’est politisée".
"Le| climat, ce n’est pas un sujet dont on discute beaucoup".
Des| jeunes Bruxelloi·ses entre désenchantement et lucidité.
"L’|école est un lieu de dépolitisation des jeunes ".
Non, les jeunes n’ont pas été égoïstes pendant la crise du covid-19 !
Comment sensibiliser les jeunes aux enjeux politiques ?