Quand Gisèle Halimi affrontait la justice coloniale. Avec les accusés d'El Halia
Bulletin : Le Monde diplomatique 798
01 septembre 2020
Numéros de page :
p.12
Lors des procès de Bobigny (1972) et d’Aix-en-Provence (1978), Gisèle Halimi a mis en accusation les lois criminalisant l’avortement et sanctionnant insuffisamment le viol. Auparavant, l’indépendance de l’Algérie et la dénonciation des tortures furent les grandes causes de l’avocate, morte le 28 juillet 2020.