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"Le syndrome de Bonnard"

l'art de ne jamais achever une oeuvre
01 octobre 2016
Numéros de page :
6 p. / p. 104-109
Comme Bonnard qui retouchait ses propres tableaux sur les cimaises des musées, Michel-Ange ou Jean-Michel Alberola ont souvent eu du mal à mettre un point final à leurs travaux. Peur de la mort, perfectionnisme ou pied de nez au rythme effréné du marché ? Il y a mille bonnes raisons de ne pas en finir.
Note Générale :