Le monde est devenu plus riche mais aussi plus interdépendant et donc plus susceptible de souffrir des crises des différents marchés, notamment chinois.

Les États-Unis peuvent gagner une guerre économique contre la Chine. Mais cela ne veut pas dire qu'ils devraient essayer de le faire.

Il y a 20 ans, Peter Navarro était un économiste progressiste qui avait participé 4 fois à des élections sous la bannière du Parti démocrate. Il est aujourd'hui le conseiller économique principal d'un président républicain, l'architecte de la guerre économique menée par Donald Trump et, selon certains, la personne la plus puissante à Washington.

Une guerre économique entre les États-Unis et la Chine pourrait rapidement s'envenimer.

Un boom pétrolier au Texas est en train de remodeler l'économie, le pays et le monde.

Les effets de la guerre économique entre les États-Unis et la Chine se font de plus en plus visibles : une croissance économique qui plonge en Chine et des conséquences importantes sur certaines industries américaines. La firme Apple, notamment, souffre du prix décourageant de ses produits sur le marché chinois.

Pour articuler les réponses aux enjeux monétaires, énergétiques, climatiques et alimentaires, l'article propose de mettre en place une devise internationale ancrée dans la réalité, sur des critères écologiques.

En répondant par l'austérité à l'inquiétude des marchés sur leur dette, les Européens se condamnent à la récession. Le remède infligé aux maillons faibles (Grèce, Irlande), qui peut tuer la zone euro, n'est pas une fatalité.