A 40, 50 ou 60 ans, il n'est jamais facile d'accepter les années avec sérénité. Notre peur de vieillir est liée à des moments de vie et à la pression sociale, mais chacun(e) ressent son âge de façon très subjective. Les femmes sont en première ligne, nous rappelle la psychanalyste Claude Halmos, qui nous engage à mener le combat pour faire du temps un allié. Car bien vieillir c'est aller vers plus d'authenticité et de sagesse, c'est se confronter à des questions existentielles bienfaisantes.

En semant la zizanie dans notre génome, ces séquences génétiques héritées des virus pourraient jouer un rôle clé dans le vieillissement. De quoi percer enfin le secret de la longévité ?

Pour comprendre le vieillissement, le biologiste propose de concentrer la recherche sur le phénomène d'anti-oxydation qui réussit aux individus les plus résistants.

Quand la mère, première image de la féminité, se fane et s'affaiblit, elle transmet à sa fille sa place et sa mémoire. Un legs chargé en émotions qu'impose l'ordre des générations.

Jusqu'ici, l'histoire était belle : les progrès sanitaires ne cessaient de garantir une vie toujours plus longue et en bonne santé. Ce n'est désormais plus le cas ! En France, la génération des ″baby boomers″ est la première pour qui l'espérance de vie en bonne santé marque un coup d'arrêt. Et il ne s'agit pas là d'une exception hexagonale quand la crise semble mondiale. Pourquoi ? Comment enrayer ce phénomène ? Notre dossier spécial.