D’Amsterdam à Kyoto, de l’Everest au Machu Picchu, le monde suffoque, victime du tourisme de masse. Partout, autorités et résidents se mobilisent pour l’encadrer et le réguler. Comme aux Canaries, où, en avril, les habitants ont crié leur ras-le-bol, même si beaucoup vivent de cette manne. Pour la presse étrangère, et notamment pour ce titre espagnol, trouver un nouvel équilibre est indispensable. Sommaire. Comment réinventer le tourisme, reportage aux Canaries. Touristes, passez votre chemin. Au Japon, l'IA pour réguler les flux".

Très populaire à l'étranger, le concept d'établissements exclusivement ou partiellement réservés aux adultes s'étend en France.

Où voyage-t-on ? Pour et auprès de qui ? Pour quelles raisons et à quel prix ? Le ton est donné, l’auteur nous embarque dans une réflexion sur l’élaboration des motifs qui poussent au voyage touristique et aux effets d’une telle pérégrination sur celui qui l’entreprend. Avec le Lac de Skadar (Monténégro) en toile de fond, il explore le rôle, la place, si ce n’est la fonction de la pulsion d’exploration dans cette entreprise, qu’il considère ici comme une pulsion globale d’autoconservation.

Et si c'était lui, le tube de l'été 2020 ? Le camping, avec sa convivialité et son grand air, semble taillé pour le monde d'après. A Saint-Jean-de-Monts, capitale française du mobil-home, on a en tout cas déjà lancé les hostilités.

Des mets raffinés du wagon-restaurant aux plats avalés sur le pouce à la voiture-bar, la manière de se restaurer dans les trains a été transformée par les innovations et les changements de société.

Voyager, c'est sympa. Mais, écrasés par trop de dépaysement, certains touristes perdent les pédales, victimes de troubles mentaux. C'est ce que les psychiatres appellent le syndrome du voyageur.

Une vie au grand air, puis une chute qui le laisse handicapé : tétraplégique, dépendant de son fauteuil et des autres. Ce drame aurait pu le condamner à l'immobilité. Mais ce n'est pas du tout son genre !