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Love, revelry and the dance in Mediaeval music
Articles
Editeur :
Année de parution :
2013
7 disques compacts : DDD
5400439003286
A l'époque où le chant grégorien est encore la seule musique religieuse, la monodie profane se développe dans les centres aristocratiques français des pays de langue d'oc et de langue d'oil. Les troubadours et les trouvères chantent les peines et les joies de l'amour courtois. En marge de la musique religieuse, dans les milieux ecclésiastiques et universitaires apparaît un vaste répertoire monodique en latin dont la plus importante source est le manuscrit des Carmina Burana qui contient des textes d'origines diverses : ils sont amoureux, moralisateurs, polémiques, religieux ou satiriques. Le manuscrit contient aussi une parodie d'un office : il s'agit de la Messe des joueurs (Officium lusorum) où le Seigneur "Dé" est célébré dans une atmosphère profane. Quand aux instrumentistes, c'est dans la musique de danse qu'ils font leurs débuts dans ce plaisir de la recherche de la virtuosité. (Electre)
Note General : Enregistré en multilingue