Une femme de la haute société souhaitant un enfant sans père, devient la mère d'une génie qu'elle décide de tuer le jour de ses 17 ans. Un roman écrit directement en français.

Ces recherches sur la tolérance mettent en exergue l'attitude intellectuelle de celui qui a la possibilité de tolérer ou d'écraser l'autre. De cette dissymétrie de la relation apparaît la question fondamentale de la tolérance : si tout est également admis, c'est qu'il n'y aurait pas de valeur objective, ni de norme, mais seulement une sorte d'indifférentisme.

Recueil d'aphorismes humoristiques.

Ce n'est donc ni une biographie, ni un essai, ni un roman qu'a écrit Fernando Arrabal avec Un esclave nommé Cervantès. Plutôt une prose de poète, qui, tout en s'appuyant sur des textes avérés et de doctes ouvrages universitaires, revendique toutes les libertés, exprimant une fois de plus, comme dans son théâtre ou ses films, sa propension naturelle à mêler l'humour, l'amour, l'érotisme, l'angoisse, le " panique ". Nicole Zand, in : Le monde, 02-02-1996

De son père, Fernando Arrabal ne garde que le souvenir de ses grandes mains lui caressant les chevilles, un été à la plage. Arrêté en avril 1936, son père sera porté disparu. La quête du père est d'abord une quête de vérité.

Premier ouvrage à reproduire l'oeuvre du photographe français consacrée aux créations architecturales du Brésil en 1962-1963, plus particulièrement celles de sa capitale conçue en grande partie par l'architecte Oscar Niemeyer.