Etude de l'influence de Gênes à partir du XIe siècle sur le commerce maritime en Méditerranée, et des rivalités qui naissent de cette expansion avec les autres puissances occidentales.

Dans le vaste Orient aussi appelé Ultramare par les Italiens et les Catalans du Moyen Age, la présence des Latins s'est manifestée sous trois formes : le commerce, la guerre et les pèlerinage et voyages de découverte. Cette synthèse propose une orientation bibliographique et documentaire, un état des connaissances et un point sur les recherches et débats en cours.

Ce manuel couvre l'ensemble des transformations culturelles de l'Europe médiévale de la fin de l'époque gréco-latine à l'apogée de l'institution universitaire et scolastique. ©Electre 2019

Cette étude du monde orthodoxe et du monde arabo-musulman médiéval met en valeur ce que représentent l'orthodoxie et l'islam ainsi que leurs évolutions respectives. S'appuie sur un cahier de cartographie, une chronologie et des définitions.

Les auteurs dressent l'histoire maritime des trois principaux empires bordant le Méditerranée au Moyen Age : Byzance, l'Islam et l'Occident. Electre 2014

Synthèse sur l'histoire de l'Espagne durant le millénaire qui sépare l'arrivée des Alains, Vandales et Wisigoths en 409 de l'avènement des rois catholiques à la fin du XVe siècle. L'ouvrage associe, pour chaque période, la trame des événements à l'analyse du contexte politique, économique, social et culturel.

La période de 1250 à 1500 se caractérise en Occident par de profonds changements, tant culturels que politiques. Cet ouvrage expose les réalités politiques propres à cette période, la crise que connaît la fin du Moyen Age, et les nouvelles dynamiques.

Synthèse de dix siècles d'histoire de Clovis à Christophe Colomb, qui démontre les liens constants existant entre les institutions et les sociétés et qui explique le fait religieux et les mentalités. Avec une bibliographie et une historiographie mise à jour. ©Electre 2017

Le christianisme né dans le judaïsme se répand à travers l'Empire Romain de manière pacifique malgré les persécutions dont il est victime. D'abord minoritaire, il devient majoritaire au cours du IIIe siècle. Puis il devient libre en 313 et passe au statut de religion d'Etat en 392. Il s'organise alors autour de l'Evèque de Rome et des conciles, triomphant des hérésies et connaît une floraison intellectuelle.POINTS FORTS- Une synthèse claire des origines antiques du christianisme- Pas vraiment d'équivalent sur le marché  - L'auteur est un spécialiste reconnu du sujet

Présente la version transcrite et abrégée par B. de Las Casas du journal de bord de C. Colomb écrit lors de son premier voyage vers ce qu'il croyait être les Indes orientales. Ce texte permet de mieux comprendre la personnalité du navigateur ainsi que ce que furent les premiers contacts avec le nouveau monde et ses habitants.

Synthèse de dix siècles d'histoire de Clovis à Christophe Colomb qui démontre les liens constants existant entre les institutions et les sociétés, et qui étudie le fait religieux et les mentalités.

Panorama chronologique de l'évolution institutionnelle, économique, sociale et culturelle des États latins d'Orient depuis la première croisade de Pierre l'Ermite, en 1096. L'ouvrage expose les origines et la nature du phénomène, entre "pèlerinages en armes" et migrations de populations, et en souligne la complexité. ©Electre 2017

Les épices, moteur de l'histoire. " Les épices, moteur de l'histoire " ? Après Marx, des historiens contemporains ont cherché à mettre en évidence le rôle fondamental des épices dans l'histoire du monde médiéval et moderne. Leur quête incessante aurait stimulé les voyages vers des terres jusque-là inconnues, provoqué la révolution nautique médiévale transformant les formes et l'usage des navires, suscité la conquête par les Occidentaux des pays producteurs d'Extrême-Orient, bref serait à l'origine de la domination du monde par les nations d'Occident. Sans la recherche effrénée des précieuses épices, Christophe Colomb, Vasco de Gama ou Magellan n'auraient pas laissé leur nom dans l'histoire. Mais pourquoi un tel attrait ? Censées provenir du Paradis même, les épices constituaient au Moyen Âge un symbole de richesse, de bonheur et de prestige, de confort matériel et de prééminence sociale, des marqueurs sociaux de goût et d'élégance. Leur prix élevé dû à leur rareté et à leurs origines lointaines et mystérieuses les réservait à l'élite de la société médiévale pour ses repas de fête ou pour les soins du corps. Elles n'étaient pas une marchandise comme une autre : à la fois condiment et médicament, teinture et parfum, le mot species (espice en vieux français) s'applique abusivement à la fin de cette époque à l'ensemble des drogues condimentaires, tinctoriales et pharmaceutiques, venues de l'Extrême-Orient, des pays de l'océan Indien ou du Proche-Orient, et qui, par l'intermédiaire des marchands arabes, arrivaient aux mains de l'aristocratie marchande des grandes cités méditerranéennes. Son usage se répartit entre la table, la pharmacopée et l'atelier. Rien d'étonnant dès lors si les textes médiévaux classent parmi les épices des produits comme le riz, le miel, le sucre ou les oranges, la cire ou le coton. De la Chine ou de l'Indonésie, arrivant en Occident par des itinéraires segmentés au sein desquels Arabes et Mongols jouent un rôle majeur, avant de passer le...