Triangle amoureux à Tanger aux portes du Sahara entre trois américains, un couple en péril et leur ami. (Electre)

Pékin, 1908. Pu Yi, enfant de trois ans, est enlevé à sa mère et conduit à la Cité interdite. A la mort de l'Impératrice Douairière, il est proclamé Empereur. C'est ainsi que commence son incroyable destin. Pu Yi va connaître le pouvoir absolu, le luxe le plus extrême, mais aussi la fin de l'Empire, la révolution, la prison et l'exil. Il restera à jamais dans l'histoire comme le dernier empereur de Chine.

Recueil de textes critiques et autobiographiques du cinéaste italien, dans lesquels il revient sur certains tournages, évoque sa vie, sa carrière, ses films fétiches, explique son esthétique et sa psychologie, dresse le portrait d'acteurs et de réalisateurs qui ont compté pour lui, etc. Electre 2014

Pekin, 1908. PU YI, un enfant de trois ans est enlevé à sa mère, et conduit à la Cité interdite. A la mort de l'impératrice Douairière, l'enfant est proclamé Empereur de Chine... Ainsi débute l'incroyable destin de l'Empereur PU YI. Il va connaître le pouvoir absolu, le luxe, l'argent, mais aussi la fin de l'Empire, la révolution, la guerre, la prison et l'exil. Il restera à jamais dans l'histoire comme... Le dernier Empereur. Evocation, presque aux dimensions de la Chine, de la vie du dernier Empereur PU YI. De 1908, où il monte à trois ans sur le trône impérial, à 1967, la fin de sa vie où il est devenu jardinier du parc botanique de Pékin, en passant par la révolution chinoise où il est rééduqué en dix années.

Lucy, jeune américaine d'une grand beauté, rejoint en Toscane un groupe d'amis de sa mère défunte. Elle va y faire l'apprentissage de la sensualité et du désir. (Electre)

En visitant la capitale, un Américain quadragénaire rencontre une jeune femme de 20 ans. Des rapports (très) charnels s'installent entre eux… On s'en souvient, un parfum de scandale a auréolé ce drame sur le sexe et la mort. Près de 30 ans après sa sortie, Le Dernier Tango à Paris n'a rien perdu de sa force ni de sa puissance. Ce DVD présente l'oeuvre dans sa version non-censurée. Le film s'ouvre sur des peintures de Francis Bacon. Ce générique est malheureusement très abîmé et souffre d'images piquées. La photographie de Vittorio Storaro dans les tons orangés n'est pas admirablement restituée. Optez pour la VO (en mono) : la voix de Marlon Brando est inimitable ! Un livret de huit pages, offert dans le boîtier du DVD, propose d'intéressantes notes de production. --Marie-Sylvie Maufus