Des aspects concrets de l'histoire et de la vie quotidienne entre le Ve et le XVe siècle en Europe, articulés autour de quatre thèmes : les châteaux, les églises, les villages et les villes.

Ce dictionnaire est principalement destiné aux étudiants préparant les concours de l'administration et de sciences politiques, ainsi qu'aux classes préparatoires. Véritable outil de travail pour l'acquisition et l'enrichissement des connaissances en sciences humaines et sociales, il est aussi tout à fait adapté à la recherche scientifique par les champs multidisciplinaires qu'il emprunte et l'éminente qualité des spécialistes qu'il a sollicités. Chaque entrée offre à son lecteur la définition précise de la notion visée et lui propose l'analyse des auteurs. Couvrant l'ensemble de la problématique de l'Union européenne au plus près de ses évolutions les plus récentes, l'ouvrage unit à l'étude juridique et politique l'apport historique et culturel de l'Europe. C'est pourquoi ce dictionnaire se projette également dans une dimension continentale qui ne se limite pas à l'Union. Les auteurs ont choisi d'unir le travail d'analyse à la restitution des connaissances nécessaires à la meilleure compréhension possible de la question européenne. Originale et attractive, cette approche pédagogique renouvelle l'historiographie européenne au coeur de la crise systémique qui frappe la zone euro et des questionnements liés à l'identité communautaire. Plus de 450 notices. De véritables synthèses analytiques. De nombreuses références bibliographiques. [LGDJ]

Né en 1830, mort en 1916, François-Joseph monte sur le trône dans le fracas du printemps des peuples en 1848. Dans sa vie de souverain, échecs politiques et revers militaires l'emportent sur les succès. Pourtant, il entre dans la légende de son vivant. Les malheurs personnels qui le frappent n'y sont pas étrangers. Il incarne une certaine idée de la monarchie et du pouvoir. ©Electre 2016

Témoignage d'André-François Poncet, ambassadeur de France à Berlin durant la période où le destin de l'Allemagne a basculé. L'auteur décrit les fondements et l'idéologie du régime et raconte son dernier entretien avec le Führer. ©Electre 2016

Né en 1830, mort en 1916, François-Joseph monte sur le trône dans le fracas du printemps des peuples en 1848. Dans sa vie de souverain, échecs politiques et revers militaires l'emportent sur les succès. Pourtant, il entre dans la légende de son vivant. Les malheurs personnels qui le frappent n'y sont pas étrangers. Il incarne une certaine idée de la monarchie et du pouvoir.

Issues d'un colloque tenu à La Roche-sur-Yon en 2014, ces 23 contributions interrogent le contexte européen à la veille de la Première Guerre mondiale et les réactions dans les différents pays lors de son éclatement. Elles examinent ainsi l'attentat de Sarajevo, l'attitude de Raymond Poincaré, l'opinion publique en Angleterre, les réactions dans la presse grecque, la position des pacifistes, etc.

C'est à la suite de l'assassinat de son prince l'héritier François-Ferdinand d'Autriche que l'empereur François-Joseph s'est laissé entraîné dans la guerre aux côtés de l'Allemagne. Cet ouvrage retrace l'agonie de la monarchie austro-hongroise qui n'a pas su s'adapter aux changements à la suite de l'abdication de Charles Ier suite à la défaite, le successeur de François-Joseph.

Synthèse sur l'histoire de la capitale de la Bavière. Fief des Wittelsbach du XIIIe au XIXe siècle, la ville s'impose comme une ville d'art réputée dans toute l'Europe. Au XXe siècle, elle devient la capitale du mouvement nazi pour retrouver, après la guerre, sa prospérité industrielle et son rayonnement culturel. ©Electre 2016

Une étude sur l'occupation de la France durant la Seconde Guerre mondiale et notamment la part prise par la Wehrmacht dans les crimes commis par l'Allemagne nazie. L'auteur offre une vue d'ensemble, depuis les décisions stratégiques d'Hitler, jusqu'aux relations tissées entre les soldats allemands et les Français. ©Electre 2015

Une étude sur l'occupation de la France durant la Seconde Guerre mondiale et notamment la part prise par la Wehrmacht dans les crimes commis par l'Allemagne nazie. L'auteur offre une vue d'ensemble, depuis les décisions stratégiques d'Hitler, jusqu'aux relations tissées entre les soldats allemands et les Français.

L'histoire des camps d'internement américains où étaient enfermés les soldats allemands capturés par les Alliés est retracée à partir des témoignages de survivants rencontrés par l'auteur dans les années 1970. L'idéologie nazie a pu y proliférer, rendant nécessaire la création de camps nazis et d'autres anti-nazis pour stopper les assassinats.

Au moment où l'Allemagne capitula le 11 novembre 1918, la solidarité des Alliés était déjà compromise. Les privations, les souffrances, les nombreuses pertes humaines, les destructions matérielles avaient épuisé l'Europe. Reconstruire devenait la priorité, ce qui portait au premier plan les solutions politiques, parfois idéologiques. Voulant dépasser l'affrontement fratricide des peuples, le " pacte de la Société des Nations " posa, sous l'influence de Wilson, les principes d'un ordre international nouveau. La paix comme but de guerre ! Cette paix retrouvée à Versailles s'avérait-elle avantageuse ? Devait-elle prôner la simple coexistence entre les nations ? La paix révolutionnaire constituait-elle une solution possible ? Comment célébrer ce moment tant attendu par tous les belligérants ?

Diplomate multilingue et interprète d'Hitler, P.O. Schmidt relate les principales réunions et rencontres au sommet auxquelles il participa dans l'entourage du Führer : entretien entre Hitler et Lloyd George à l'Obersalzberg (1936), la signature du pacte d'alliance germano-italien à Berlin le 22 mai 1939, la rencontre avec le grand mufti Amin al-Husseini en novembre 1941, etc. ©Electre 2018

Jean-Paul Bled, Jean-Pierre Chevènement, Matthias Fekl, Hervé Gaymard, Jacques Godfrain, Éric Anceau, Jean-Pierre Arrignon, Dominique Barjot, Éric Bédard, David Chanteranne, Michèle Cointet, Philippe Delorme, Jean-François Figeac, Frédéric Fogacci, Olivier Germain-Thomas, Edmond Jouve, Alain Laquièze, Renaud Meltz, Alexandre Najjar, Gaël Nofri, Christophe Réveillard, Philippe de Saint-Robert, Jean-Marc Simon, Arnaud Teyssier. Tous ont voulu, en ce cinquantenaire de la mort du Général, dire en quoi il reste vivant. Chacun d'entre eux s'est saisi d'une facette de son destin et de sa pensée, de son action et de son oeuvre, de sa vie publique et de son existence personnelle, pour en démontrer l'actualité. À l'heure où le monde est en crise et où la France s'interroge, voici un guide indispensable pour comprendre ce que résister a signifié hier, signifie aujourd'hui et signifiera demain. Un livre monumental pour un monument humain. Historien, longtemps professeur à la Sorbonne, membre du Conseil scientifique de la Fondation de Gaulle et du Figaro Histoire, Jean-Paul Bled, dont l'oeuvre considérable est reconnue internationalement, a dirigé cet ouvrage.

Cet ouvrage retrace les derniers moments de l'Empire austro-hongrois, au début du XXe siècle. Cette puissance, autrefois l'une des plus solides d'Europe, et qui fédérait des peuples hétéroclites, n'a pas su s'adapter au changement et tirer parti de ses atouts. L'entrée en guerre, en 1914, au côté de l'Allemagne, suite à l'assassinat du prince héritier François-Ferdinand, lui fut fatale. ©Electre 2022

Neuf portraits de ministres de l'Etat habsbourgeois, ayant exercé entre la fin du XVIIe et le début du XXe siècle : Eugène de Savoie, Wenzel Anton von Kaunitz, Klemens Wenzel von Metternich, Félix zu Schwarzenberg, Alexander von Bach, Friedrich Ferdinand von Beust, Eduard von Taaffe, Max Wladimir von Beck et Istvan Tisza. ©Electre 2023

Témoignage d'un intime d'A. Hitler sur les premières années du NSDAP. E. Hanfstaengl fut à partir de 1930 le chef du département de la presse étrangère du parti nazi. Après avoir rencontré Hitler en 1922, il a été l'un de ses proches jusqu'à son éloignement en 1934. Réfugié en Grande-Bretagne en 1937, puis aux Etats-Unis, il deviendra le conseiller occulte du président Roosevelt. ©Electre 2018

Cet ouvrage retrace les derniers moments de l'Empire austro-hongrois, au début du XXe siècle. Cette puissance, autrefois l'une des plus solides d'Europe, et qui fédérait des peuples hétéroclites, n'a pas su s'adapter au changement et tirer parti de ses atouts. L'entrée en guerre, en 1914, au côté de l'Allemagne, suite à l'assassinat du prince héritier François-Ferdinand, lui fut fatale. ©Electre 2017

Cette biographie fait le récit du parcours politique de Bismarck, qui a dirigé l'Allemagne de 1862 à 1890, et qui a été l'initiateur d'un combat contre l'Eglise et d'une politique sociale d'envergure, mais aussi le partisan d'une diplomatie et d'une politique dures et impérialistes.

Le 28 juin 1914, à Sarajevo, l'héritier du trône d'Autriche-Hongrie, l'archiduc François-Ferdinand est victime d'un attentat. Un mois plus tard, l'Europe est en guerre. Cette biographie met en lumière la personnalité méconnue de ce prince réformateur en politique et iconoclaste dans sa vie privée. Elle dresse le tableau d'un empire écartelé entre fédéralisme et réaction mortifère.

Cette biographie retrace, tout autant que la vie de François-Joseph, l'histoire de l'Autriche-Hongrie durant son règne, de 1848 à 1916. Livre intéressant, qui montre combien ce souverain a marqué de sa personnalité la politique de son empire.

Marie-Thérèse fut impératrice d'Autriche de 1740 à 1780 et donna le jour à deux futurs empereurs : Joseph II et Léopold II, et à Marie-Antoinette, future épouse de Louis XVI. L'ouvrage raconte ses 40 ans de règne, ses combats pour conserver modernité et tradition dans la direction des affaires d'Etat, l'institution d'un Conseil d'Etat, l'unification de la législation, etc.