Revelation est le premier album entièrement enregistré et produit au studio d'Anton Newcombe à Berlin. Enregistré entre la fin 2012 le début 2014, il fait suite à Aufheben (avril 2012) qui avait marqué le retour d'une écriture plus pop.

Entièrement enregistré et produit au studio d'Anton Newcombe à Berlin entre mars et octobre 2016, c'est le seizième album du groupe. Anton s'est entouré de Ricky Maymi, Dan Allaire, Collin Hegna et Ryan Van Kriedt, mais aussi d'Emil Nikolaisen, du groupe norvégien Serena-Maneesh, de Pete Fraser au saxophone, et de Tim Burgess, Tess Parks et Shaun Rivers aux voix. Une nouvelle dynamique s'entend sur ce disque, qui mélange un son shoegaze/psychédélique à des tournures plus expérimentales sur des titres que l'on pourrait croire sortir de Metal box de PIL, des premiers Primal Scream ou même d'Ornette Coleman.

Le nouveau venu HFN Music se lance dans la compétition avec une série plutôt originale et bien vue : offrir une balade virtuelle en musique autour des ports de la planète. L'idée étant de proposer à une série d'artistes d'évoquer les images, les sentiments et les ambiances auxquels leur font penser les ports de leur ville. Le premier volume de cette collection est sous la responsabilité de notre Danois favori, Anders Trentemoller qui nous présente ainsi de façon onirique le port de sa ville natale. Toujours éclectique, il affiche pourtant une nette préférence pour les morceaux mélancoliques et cheesy inspirés par la pop sombre et la new wave relevée d'une pointe d'électro.

Cette collection de singles à l'inluence Sonic-Velvetienne n'est à l'origine sortie qu'en version vinyle.

Hommage aux réalisateurs européens des années 50 et 60, comme François Truffaut et Jean-Luc Godard, ce disque a été composé par Anton Newcombe, sous le nom de son groupe, tel une bande-son de film français imaginaire. Afin de donner plus de sensualité, il a invité la chanteuse SoKo et l'actrice-chanteuse-réalisatrice italienne Asia Argento dans cette expérience symphonique à chanter en français sur deux morceaux.

Réédition de l'album sur le label d'Anton Newcombe, A Records.

Toujours marquée par la période psyché des Rolling Stones, la musique du groupe est également désormais sous influence du shoegazing et du néo-psychédélisme anglais des années 80-90.

Enregistré à Berlin entre 2020 et 2021, voici le 19e album studio qui marque le début d'une nouvelle phase passionnante pour Newcombe & co. Il sonne un peu rétro et un peu psychédélique à certains moments. Anton Newcombe précise : "Sur le plan existentiel, cette période a été plutôt sombre, donc c'est à propos de se battre pour le bon combat. Je chante pour donner de la force à d'autres gens. D'abord, je prends tout ce dont j'ai besoin, mais je peux y voir quelque chose auquel les autres peuvent s'identifier".

Entièrement enregistré et produit au studio d'Anton Newcombe à Berlin entre mars et octobre 2016, c'est le seizième album du groupe. Anton s'est entouré de Ricky Maymi, Dan Allaire, Collin Hegna et Ryan Van Kriedt, mais aussi d'Emil Nikolaisen, du groupe norvégien Serena-Maneesh, de Pete Fraser au saxophone, et de Tim Burgess, Tess Parks et Shaun Rivers aux voix. Une nouvelle dynamique s'entend sur ce disque, qui mélange un son shoegaze/psychédélique à des tournures plus expérimentales sur des titres que l'on pourrait croire sortir de Metal box de PIL, des premiers Primal Scream ou même d'Ornette Coleman.

Aufheben est un verbe allemand ayant plusieurs significations. Il peut aussi bien vouloir dire monter, transcender, abolir ou même sous-louer. C'est aussi un terme utilisé en philosophie par Hegel pour expliquer le moment où une thèse et une anti-thèse interagissent. Cet album a été enregistré à Berlin dans le studio d'Anton Newcombe ainsi que dans un studio de la célèbre radio de l'ex-Allemagne de l'Est, Studio east. Matt Hollywood, membre du line-up originel est de retour pour l'enregistrement, accompagné de Will Carruthers (Spacemen 3, Spiritualized), Constatine Karlis (Dimmer) et de Thibault Pesenti (Rockandys). Eliza Karmasalo chante aussi sur certains morceaux en finnois. Dans cet album le son de BJM se mélange à des influences orientales ainsi que tout ce qu'on a vu de plus fou depuis quarante ans pour être au goût du jour.

Enfin réédité sur le label du californien Anton Newcombe (chanteur/guitariste du groupe), l'album est à la fois sombre et onirique, ses atmosphères riches ont été inspirées à sa création en 2001 par le mouvement punk / rock psychédélique et les expérimentations doom de l'époque, ce disque surprend par sa créativité et son art de réinventer les ambiances passées. Un disque pilier de la discographie de BJM.