Les aventures de deux garçons turbulents et farceurs qui s'introduisent dans les maisons, cachent des bestioles dans les lits, chapardent de la nourriture et embêtent les animaux. Ils n'ont ni compassion, ni respect, ni morale, mais ils devront quand même payer pour leurs bêtises. Ces sept récits sont accompagnés de l'histoire du corbeau Claque-du-Bec, du méchant meunier et du sage hibou.

L'auteur a grandi, il est en âge de travailler. Mais c'est le début de la guerre... La suite des Ritals, Prix Interallié 1979.

J’ai eu une enfance merveilleuse. oui, toutes les enfances 1e sont, mais celle-là plus que ça, beaucoup plus. Et je m'en rendais compte. Comment dire ? J'étais heureux et je me regardais être heureux. Je me racontais mon bonheur. Les Ritals, c'était le livre de mon père. Ceci est le livre de ma mère. Maman orgueilleuse jusqu'à l'ascèse. Maman solitaire parmi ses rêves en ruine. Maman bourreau d'elle-même. Maman faisant des ménages, mais comme une reine en exil. Maman portant sa pauvreté comme le manteau du sacre. Maman étouffant d'amour rentré. Maman qui n'a trouvé qu'une passion digne d'elle : son fils… Source : Le Livre de Poche, LGF

A la fin du VIe siècle, la haine entre les reines Brunehaut et Frédégonde atteint son point culminant. Brunehaut veut soumettre les grands seigneurs locaux et venger les assassinats de sa soeur, de son mari et de son fils, commandités par sa rivale. Meurtres, complots et trahisons s'enchaînent... Clôt le cycle mérovingien commencé avec

L'histoire de l'humanité revisitée à travers les grandes étapes de l'évolution et les notions philosophiques et théologiques. Des explications sur l'invention de la roue, du feu, de la charrue, du pantalon, de l'esclavage et sur les conséquences de ces inventions sur le rôle de l'homme comme maître du monde. Revient également sur la création de la propriété privée, de la guerre et de l'amour.

Publié à l'occasion d'une exposition qui se tient à partir de mai 2006 à l'Hôtel de ville de Paris, cet album réunit plus de 150 dessins sur la capitale organisés en six thèmes : la Seine, les villages, le patrimoine, les salles de spectacle, les hauts lieux du pouvoir et la rue.

Ce recueil d'articles parus dans "Charlie Hebdo" de 1969 à 2004 évoque la femme dans tous ses états. Du manifeste des 343 femmes pour l'avortement aux affaires de port de voile, Cavanna aborde les grands débats de société de ces 35 dernières années, mais aussi des sujets plus légers, comme la mini jupe ou la drague. (Livres hebdo : livres du mois, 6, 2005)

Après la banlieue des Ritals, l'Allemagne et la Russie des Russ-koffs et de la guerre, Cavanna rentre à Paris. Il faut survivre, sans argent et sans relations. Ses premiers dessins, il les donne au journal Le Déporté du Travail. Maria, la femme tant aimée, perdue en Russie, continue de hanter François. Il met des mes-sages sur le tableau de l'association des Déportés. Il y rencontre Liliane, « petite chèvre aux cornes agacées », rescapée des camps de concentration qui recherche, elle aussi, sa famille. Après des travaux temporaires et beaucoup de portes claquées au nez, ce sont les débuts de Hara-Kiri avec Choron et les copains; Cabu, Wolinski, Reiser, Topor, Melvin, Gébé, Fuchs. Hara-Kiri devient le célèbre journal « bête et méchant ». Sur-viennent les démêlés avec la justice, un poil bien dessiné mais mal placé... et la condamnation s'abat. La langue de Cavanna est crue mais le coeur est infiniment tendre et bienveillant. Son prodigieux humour atténue la violence et la bêtise des luttes quotidiennes. Un extraordinaire troisième volet de la vie de Cavanna. Source : Le Livre de Poche, LGF