Plus que dix-huit jours. Puis ce seront les vacances d'été, et les Sévigny quitteront la ville... pour toujours. Enfin, Coralie sera délivrée du Mal. Si elle survit. Car, avant de s'en aller, les Sévigny sont bien déterminés à détruire Coralie. Par le feu. Elle commence à trouver des boîtes d'allumettes plein ses poches, des dessins de flammes sur tous ses cahiers. De mystérieuses bougies allumées apparaissent dans sa chambre, des flammes dansent sur les murs, et de sinistres feux brillent dans toutes les cheminées de l'auberge. Les Sévigny essaient-ils de faire croire à Coralie qu'elle est en train de devenir folle ? Le Mal a-t-il finalement pris le contrôle de son esprit ? Le dénouement de la trilogie, après La pension infernale et Le secret de l'auberge publiés dans la même collection. Un récit déroutant et pénible, tant sur le plan du contenu (quelest le sens de cette histoire?) que de l'écriture et de la contruction: le lecteur est plongé dans "les terreurs de Coralie" sans distance aucune, englouti dans l'incohérence des événements. Un ton constamment racoleur dû aux "effets spéciaux" très appuyés et à un style qui recourt à tous les moyens (récit au présent, phrases hachées, etc.) pour contraindre à l'angoisse. (Revue des livres pour enfants)

Il se passe des choses de plus en plus étranges à la pension infernale où Coralie essaye de résister au Mal, qui s'en prend à tous les pensionnaires l'un après l'autre. Qui sera la prochaine victime? Quel est cet être qui glousse de façon inquiétante dans la cave? Qui sont les cruels Sévigny, les reponsables de la pension?...