Dans les années 60 et dans un pays du bassin méditerranéen, un député progressiste est assassiné. Le juge d'instruction chargé de l'enquête, malgré les pressions exercées, met en évidence le rôle du gouvernement dans cet assassinat, notamment celui de l'armée et de la police.

Né en Arcadie (Grèce), Konstantinos Gavras débarque à Paris en 1955. Il étudie à l'IDHEC et rencontre les plus grands cinéastes français. Il réalise son premier film, Compartiments tueurs, en 1965. Il est l'auteur de 18 films, dont Z, L'aveu et Amen. Dans ses mémoires, se croisent la France et Hollywood, les acteurs français et américains. ©Electre 2021

La famille de Francois est bien sous tous rapports, en apparence seulement. En effet, le père et son meilleur ami sont des as de la cambriole. Feru d'élèctronique, le jeune homme se lance dans le métier, avec succés. Mais il préfère l'honnêteté et l'amour, défiant ainsi une autorité paternelle dont il lui faudra bien se débarrasser...

Michel est apparemment un homme fort et solide. Il est cependant déboussolé, affolé de désespoir dans cette nuit terrible qu'il lui faut traverser seul, en attendant le matin où il ira retrouver sa femme morte. Celle-ci a choisi la dignité d'un acte volontaire plutôt que l'agonie, la souffrance et la déchéance. Elle lui a demandé de survivre dans l'espoir d'un nouvel amour qui serait une permanence de leur couple.

1941. Suite à l'assassinat d'un officier allemand par un jeune militant communiste, le ministre de l'Intérieur, Pierre Pucheu, auquel les pleins pouvoirs viennent d'être attribués, tente de faire voter une loi d'exception rétroactive pour juger et condamner à mort six militants n'ayant rien à voir avec cet assassinat.

Fête chez Barbara et Henri, ex soixante-huitards, signataires de pétitions. En voulant changer une ampoule, Stan, ex-mari polonais de Barbara, provoque une véritable catastrophe. Tous croient à une tentative de suicide. Se suicider ? Ils vont l'aider ! Mais pour une « cause » !