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Alleur Section adultes 320 DAR20 Disponible
enquête sur la souveraineté de l'État en Occident
Auteurs :
Année de parution :
2020
Editeur :
Importance matérielle :
1 vol. (730 p.) : 24 cm
9782348042140
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B3 Centre de ressources Civilisations et sociétés 336 BORR Disponible
pour une économie des communs
Auteurs :
Année de parution :
2018
Comment penser un au-delà de la propriété, notamment dans sa forme collective ? S'appuyant sur l'étude des mouvements collectivistes les plus notables, cet essai ambitieux se concentre sur les innovations sociales propres à accélérer la disparition de la propriété productive, par exemple au profit de communs articulés entre eux. À partir d'une enquête sur le mouvement coopératif, les diverses approches de la propriété collective au XIXe siècle, l'étatisation soviétique, la socialisation espagnole de 1936 et la tentative de correction autogestionnaire des communistes yougoslaves, ce livre propose de penser un au-delà à la propriété productive, qu'elle soit privée/capitaliste ou collective. Il montre que, jusqu'ici, deux grandes formes de propriété collective ont été expérimentées : la coopérative et l'étatisation des moyens de production. Dans la première, le capital, même second, tend à reprendre le dessus en cas de succès de l'entreprise. Dans la seconde, elle induit une concentration du pouvoir excluant ceux au nom de qui elle a été réalisée. Ces échecs sont inhérents à la notion même de propriété : excluante et centralisatrice par nature. Même collective, une propriété reste un instrument d'oppression. Le XXe siècle a été porteur d'innovations qui permettent d'envisager la disparition de la notion de propriété productive : les cotisations sociales, car elles contestent le régime de la propriété par l'imposition de règles de distribution des revenus, et le financement des actifs des entreprises par endettement, car il ouvre la voie à la disparition des fonds propres. Le prolongement de ces innovations permet de relativiser la notion même de propriété et d'envisager que travailleurs et usagers d'une unité de production puissent avoir sur elle un droit de codirection. L'unité productive devient ainsi un commun à côté d'autres communs assurant des tâches de financement des actifs, de mutualisation des investissements, de redistribution et de péréquation des...
Editeur :
Collection :
L'|Horizon des possibles
Importance matérielle :
1 vol. (247 p.) : : 21 cm
9782707198815
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Liege 2 exemplaire(s) disponible(s)
Chênée Section adulte 33 DARDOT Disponible
Saint-Léonard Section adulte 33 DARDOT Disponible
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources Civilisations et sociétés 33 DARDOT Disponible
Fl 1 exemplaire(s) disponible(s)
Fléron Section Adultes 33 Disponible
comment le néolibéralisme défait la démocratie
Année de parution :
2016
Comment expliquer l'étrange survie des forces pourtant responsables de la crise économique de 2008, l'une des pires depuis 1929 ? Comment expliquer que le néolibéralisme soit sorti renforcé de la crise ? Au moment de son déclenchement, nombre d'économistes parmi les plus célèbres avaient hâtivement annoncé sa " mort ". Ils n'ont vu dans la poursuite des politiques néolibérales que le résultat d'un entêtement doctrinal. Pour Pierre Dardot et Christian Laval, le néolibéralisme n'est pas qu'un simple dogme. Soutenu par des oligarchies puissantes, il est un véritable système politico-institutionnel obéissant à une logique d' autorenforcement. Loin d'être une rupture, la crise est devenue un mode de gouvernement d'une redoutable efficacité. En montrant comment ce système s'est cristallisé et solidifié, le livre explique que le verrouillage néolibéral a réussi à entraver toute correction de trajectoire par la désactivation progressive de la démocratie. Accroissant le désarroi et la démobilisation, la gauche dite " gouvernementale " a contribué très activement au renforcement de la logique oligarchique. Ceci peut conduire à la sortie définitive de la démocratie au profit d'une gouvernance expertocratique soustraite à tout contrôle. Pourtant, rien n'est encore joué. Le réveil de l'activité démocratique, que l'on voit se dessiner dans les mouvements et expérimentations politiques des dernières années, est le signe que l'affrontement politique avec le système néolibéral et le bloc oligarchique a déjà commencé.
Editeur :
Collection :
Cahiers libres
Importance matérielle :
1 vol. (247 p.) : 19 cm
9782707188526
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Ali 1 exemplaire(s) disponible(s)
Trois-Ponts Section adultes 32 DAR Disponible
As 1 exemplaire(s) disponible(s)
Alleur Section adultes 33 DAR14 Disponible
Chirx 1 exemplaire(s) disponible(s)
B3 Centre de ressources Civilisations et sociétés 330 DARDOT Disponible
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Bibliothèque communale de Hannut Section adultes 32 DAR C Disponible
essai sur la révolution au XXIe siècle
Année de parution :
2014
Partout dans le monde, des mouvements contestent l'appropriation par une petite oligarchie des ressources naturelles, des espaces et des services publics, des connaissances et des réseaux de communication. Ces luttes élèvent toutes une même exigence, reposent toutes sur un même principe : le commun. Pierre Dardot et Christian Laval montrent pourquoi ce principe s'impose aujourd'hui comme le terme central de l'alternative politique pour le XXIe siècle : il noue la lutte anticapitaliste et l'écologie politique par la revendication des communs contre les nouvelles formes d'appropriation privée et étatique ; il articule les luttes pratiques aux recherches sur le gouvernement collectif des ressources naturelles ou informationnelles ; il désigne des formes démocratiques nouvelles qui ambitionnent de prendre la relève de la représentation politique et du monopole des partis. Cette émergence du commun dans l'action appelle un travail de clarifi cation dans la pensée. Le sens actuel du commun se distingue des nombreux usages passés de cette notion, qu'ils soient philosophiques, juridiques ou théologiques : bien suprême de la cité, universalité d'essence, propriété inhérente à certaines choses, quand ce n'est pas la fin poursuivie par la création divine. Mais il est un autre fil qui rattache le commun, non à l'essence des hommes ou à la nature des choses, mais à l'activité des hommes eux-mêmes : seule une pratique de mise en commun peut décider de ce qui est commun , réserver certaines choses à l'usage commun, produire les règles capables d'obliger les hommes. En ce sens, le commun appelle à une nouvelle institution de la société par elle-même : une révolution.
Editeur :
Importance matérielle :
1 vol. (592 p.) : 24 cm
9782707169389
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