Alors qu'il vit ses derniers instants, Eugène rencontre une jeune infirmière à laquelle il raconte ses souvenirs de la Résistance. Outre les réunions secrètes, les exécutions, la torture, la peur d'être dénoncé ou trahi, il y avait ses amis : Romain, Raoul, Armand, Marinette et puis Eva, à qui il n'a jamais osé dévoiler son amour. ©Electre 2019

Essai consacré à ce sentiment incontrôlé, qui peut faire perdre la raison. Mêlant à sa réflexion personnelle ce qu'en ont écrit divers philosophes, l'auteur invite à penser l'amour différemment, afin de le vivre non plus seulement comme un sentiment irrationnel qui s'impose à l'individu, mais comme une liberté qui se déploie au sein même du sentiment amoureux. ©Electre 2020

Au crépuscule de sa vie, Eugène croise le chemin d'une jeune infirmière à qui il livre ses souvenirs de la Résistance. Ces réminiscences, parfois teintées de tristesse, parfois éclatantes d'espoir, convoquent également ses amis: ils s'appellent Éva, Romain, Raoul, Armand, Marinette... Ils ont vingt ans, autant dire la vie devant eux. La vie de ces héros ordinaires, qui ont choisi d'intégrer un réseau de combattants, s'égrène en réunions secrètes, en exécutions et en tortures. Avec la peur d'être arrêtés, la crainte d'être dénoncés, de trahir ou d'être trahis. Toute l'absurdité et la cruauté de la guerre sont dépeintes ici, même si Eugène en garde une impression d'existence intense, car cette bande d'idéalistes était soudée à la vie à la mort. Et Eugène n'a jamais oublié Éva. Il s'était juré de lui dire qu'il l'aimait.

Une femme qui a décidé de se suicider revoit le film de sa vie défiler devant elle. Premier roman. ©Electre 2018

Être envahi par un flot incessant de pensées, ou par une idée en particulier, insistante, obsédante ; se perdre en anticipations anxieuses sur les risques liés à un projet, une action ; s'inquiéter sans cesse et pour tout ; lors d'un entretien ou d'un examen, avoir le trac au point de perdre le contrôle de soi ; être trop souvent submergé par ses émotions et ne plus répondre de rien ; ruminer des situations dans lesquelles on « aurait dû dire cela… faire cela ». Le mental toxique se manifeste sous des formes diverses. Ce que nous vivons ici et maintenant est alors parasité par des images et des pensées qui nous font perdre le contact avec notre corps et notre environnement. La machine à pensées crée un monde déconnecté et improbable dont nous devenons les jouets. Comment reprendre prise sur nos pensées et les apaiser ? Comment ne plus souffrir d'un mental stressé, agité, poussé à bout ? Il s'agit, pour Denis Faïck, d'approfondir notre relation avec le corps en expérimentant notamment une pleine conscience du corps. Ce livre propose un ensemble de techniques corporelles qui, en agissant sur le système nerveux, calment l'organisme et restaurent le sentiment de maîtrise de soi et de force.