Chaque jour, pendant les douze jours qui suivent Noël, une belle insouciante demande à son bien-aimé de lui apporter un nouveau présent.

Un prince voulait épouser une vraie princesse, mais n'en trouvait aucune. Un soir d'orage, une princesse vient demander l'hospitalité au palais. La reine glisse un petit pois dans son lit, sous vingt matelas et vingt duvets. Seule une véritable princesse serait capable de le sentir.

Goulu le meurt-de-faim, parce qu'il a du chagrin, dévore les biens de ses voisins : les champs, les vergers, ... Un jour, c'est la fille du meunier, Marie, qu'il se met à dévorer -des yeux seulement ! Son amour aurait pu le guérir de sa boulimie mais le meunier, par peur, chassa ce prétendant trop vorace. Le texte-poème a les accents du conte ; les illustrations étranges, entre réel et imaginaire, expriment la tragédie qui se joue autour du manque d'amour.

Par un beau matin d'été, Jonathan le souriceau recueille un pauvre petit moineau tombé du nid. Après l'avoir consolé, il tente de s'en occuper de son mieux. Mais comment lui apprendre à voler?

Etienne est inquiet car il a encore désobéi et Saint-Nicolas doit venir. Dénouement amusant. Illustrations aux teintes vives.