Le cinéma est une arme de guerre.Paris, 1941. Le pyromane détruisant les pellicules de films allemands et l'assassin de Victoire courent toujours. À travers son exploration des milieux interlopes du spectacle sous l'Occupation, le commissaire Engelbert Lange voit resurgir de vieux démons. Hanté par le fantôme de sa mère qui l'avait abandonné pour tenter une carrière de comédienne et espionné de près par la Gestapo, pas facile de garder la tête froide pour résoudre cette double-enquête digne d'un film de Clouzot...À travers ce polar historique bien ficelé et dessiné par la prometteuse Alicia Grande, Laurent Galandon nous fait arpenter les rues d'un Paris occupé où le cinéma peut aussi bien servir à contester le pouvoir qu'à le maintenir.

Paris, septembre 1941. Le commissaire Engelbert Lang est chargé d'enquêter sur un incendie au cinéma le Concordia qui a détruit un film de propagande nazie. C'est la deuxième fois qu'un tel acte se produit dans la capitale et les autorités allemandes s'en préoccupent. Lang découvre que l'Occupation n'a pas totalement réduit l'esprit de création et de liberté. ©Electre 2020

Début 20e siècle. Le jeune Masataka Taketsuru, héritier d'une prestigieuse lignée de brasseurs de saké, a un rêve inouï, irréalisable peut-être pour son pays pétri de traditions : créer le premier whisky japonnais. Défiant pourtant sa famille, qui le chasse, et le poids des coutumes, il se rend en Écosse, déterminé à percer les secrets de cette boisson. Au fil des années, son histoire d'amour passionnée avec la jeune écossaise Rita Cowan et une rivalité intense avec son mentor, Shinjiro Torii, devenu son concurrent, tissent l'étoffe de sa vie. Quel prix devra-t-il payer pour inscrire son nom au firmament de l'univers exigeant du whisky ?