Cet essai permet d'étudier la condition spirituelle de l'homme d'aujourd'hui, avec les angoisses et la peur de vivre, qui traverse le quotidien et les démarches artistiques.

Dans ces entretiens, le psychanalyste français, dont le parcours a été marqué par l'influence de Jacques Lacan et de Yeshayahou Leibowitz, livre ses réflexions critiques sur la politique sécuritaire d'Israël, le tournant identitaire du judaïsme français, la dimension prophétique de la religion juive, les différents monothéismes ou encore l'apport de la psychanalyse, trop souvent décriée. ©Electre 2019

B. Sesboüé évoque son parcours de religieux et de contemporain, à travers ceux qui l'ont marqué comme Henri de Lubac ou Joseph Moingt. Il dresse un panorama de la théologie de ces dernières décennies et fait le point sur les questions majeures de la foi. Enfin, il évoque des questions d'actualité : l'avenir de la foi et la sécularisation, les nouvelles croyances, le rapport à l'islam, etc. ©Electre 2016

Présentation des nouvelles générations de chrétiens militants, présents sur les blogs, dans les manifestations contre le mariage pour tous, lors des JMJ ou les grands rassemblements. Plus soucieux d'une foi identitaire que leurs aînés, ces catholiques exprimeraient des aspirations nouvelles.

Les regards croisés d'un moine bénédictin et d'un biologiste chrétien sur les crises qui secouent l'Eglise de France et celle d'Allemagne. S'interrogeant sur les façons de les surmonter, ils proposent chacun des pistes de réponse et invitent les croyants à ne pas se décourager. ©Electre 2024

Portrait du compositeur Jean Sébastien Bach, homme aux multiples facettes et père de 20 enfants. Sa maîtrise de la facture des instruments, de la technique instrumentale, de la composition et de l'improvisation font de lui l'un des plus grands musiciens de tous les temps.

Pourquoi le pape, chef spirituel d'un milliard de croyants, est-il si mal traité par les médias ? Pourquoi Benoît XVI est-il aussi impopulaire dans le pays qui fut naguère la " fille aînée de l'Église " ? Est-ce le fait de son manque de charisme, comparé à son prédécesseur ? Ou de ses récentes fautes de communication - discours de Ratisbonne, affaire Williamson, drame de Recife, condamnation du préservatif ? Au-delà de sa personne, est-ce le signe que le Vatican n'a pas su s'adapter aux exigences des médias d'aujourd'hui ? Ou que l'Église, par méfiance ou par principe, refuse délibérément de jouer le jeu de la communication moderne ? Est-ce, enfin, l'évolution des médias qui les conduit à ignorer peu à peu la nuance, la complexité, la pensée, la mémoire ? Ou bien est-ce l'effet de la sécularisation, de l'inculture religieuse, de l'anticléricalisme, du " politiquement correct " ou de l'individualisme ?