Stolp, un marginal sympathique et bon à rien, hérite d'un minuscule appartement à Paris. Il s'y rend un peu malgré lui et, cherchant à fuir l'athmosphère pesante de son nouvel habitat, il déambule dans les rues de la capitale. En chemin, il rencontre Carmen mais les prémices d'un amour possible semblent compromises par le souvenir douloureux d'une séparation récente.

Paul Nizon est un écrivain suisse, né le 19 décembre 1929 à Berne. Il commence à publier vers la fin des années 1950. Il vivra à Berne et Zurich comme assistant de musée et critique d'art au quotidien Neue Zürcher Zeitung et à partir de la fin des années 1970 il s'installera définitivement à Paris en tant qu'écrivain libre.

Paul Nizon est un écrivain suisse, né le 19 décembre 1929 à Berne. Il commence à publier vers la fin des années 1950. Il vivra à Berne et Zurich comme assistant de musée et critique d'art au quotidien Neue Zürcher Zeitung et à partir de la fin des années 1970 il s'installera définitivement à Paris en tant qu'écrivain libre.

L'écrivain aborde un aspect peu connu de l'oeuvre et de la vie de l'artiste, le Van Gogh dessinateur. Agé de 30 ans, entre 1881 et 1885, il se retire dans la campagne hollandaise, où il partage et illustre la vie des paysans et des mineurs.

Né à Berne en 1929, Paul Nizon, romancier et essayiste, est aujourd'hui considéré comme l'un des écrivains majeurs de langue allemande. Il vit en France où, en 1998, il a reçu le prix France-Culture et a été nommé chevalier des Arts et des Lettres.

Philippe Derivière né à Bruxelles en 1964, est l'auteur d'essais consacrés à la littérature contemporaine.

Né à Berne en 1929, Paul Nizon est considéré comme l'un des écrivains contemporains les plus novateurs. Après une thèse consacrée à Van Gogh, il devient boursier de l'Institut suisse de Rome, où il naît à sa vie d'artiste ; mais ce n'est qu'en 1961, après l'expérience de Barcelone, relatée dans Immersion, qu'il se consacre pleinement à l'écriture et publie Canto. Après plusieurs années de pérégrinations et de ruptures, il revient à la vie littéraire en 1971, et publie notamment Stolz, L'Année de l'amour, Chien. Confessions à midi, et plus récemment La Fourrure de la truite, ainsi qu'un recueil de récits et de réflexions intitulé Le Ramassement de soi. Ses journaux se composent pour le moment de quatre tomes. Son oeuvre, qui se caractérise par sa liberté formelle et témoigne d'une vive attention aux impressions sensibles du monde, a été récompensée par de très nombreux prix littéraires, dont, en 2010, le prestigieux prix national autrichien pour la Littérature européenne.

Dans ce cinquième tome, l'écrivain confie ses rêves, évoque la souffrance que peut provoquer l'écriture ou encore la séparation amoureuse. Electre 2014

Pendant l'année qu'il s'accorde à Paris pour se réconcilier avec l'écriture, le héros découvre les facettes innombrables de la jouissance et, en lui-même, une profonde disponibilité à l'amour de la création.

Comme en préambule à son œuvre littéraire, Paul Nizon a écrit un certain nombre de critiques d'art. De Goya à Hodler en passant par Turner, de Picasso et Malevitch à Morandi, Rothko et Giacometti, en passant par Soutine et Miró, l'écrivain y dessine, comme en passant, sa propre existence avec l'art et en l'art.

Paul Nizon, né à Berne en 1929, vit à Paris. De multiples prix littéraires ont été décernés en Suisse et en Allemagne à ce prosateur, romancier des grandes villes, fictionnaire autobiographique (ainsi qu'il se définit lui-même), écrivain érotique et marcheur-arpenteur de la langue.

Un fils interpelle Dieu et lui raconte les injustices qui ont frappé sa famille, avec une violence éblouissante. Version poche d'un titre adapté à l'écran par Bo Widerberg.

Ce journal (1980-1989) dévoile les coulisses de la pratique littéraire de l'écrivain allemand : idées, pensées, observations, souvenirs, doutes, billets d'humeur et d'amour, rêves... Le témoignage d'une existence entièrement vouée à la création artistique.