Premier album du chanteur de Faith No More en solo. Seulement une voix et un micro, des sons expérimentaux uniques. (Electre)

Chanteur de Mr Bungle et Faith No More, Mike Patton est également compositeur. Cette création étendue et joué par un ensemble de stars nous transporte dans un ambient-world des plus surréalistes. (Electre)

Enregistré lors d'une série de concerts européens avec un orchestre de trente musiciens, on retrouve sur ce disque des standards pop italiens ainsi qu'une reprise de Deep down d'Ennio Morricone. (Electre)

"Jean-Claude et moi nous sommes rencontrés en travaillant sur une rétrospective Gainsbourg en 2011 au Hollywood Bowl, explique Mike Patton. Le courant est tout de suite passé. J'ai pu observer chez lui une réelle attention au détail et un dévouement sans bornes. (...) Nous avons évoqué l'idée de travailler ensemble un jour... Cela a pris du temps, mais après quelques années je l'ai contacté et nous avons établi les prémices de notre collaboration". Mike Patton (Faith No More) "Il a su donner vie à ma musique grâce à sa vision unique et ses interprétations de mes chansons. C'est un chanteur formidable, doté d'un grand sens de l'humour. Ensemble nous avons créé une musique forte, belle et sincère, à l'image de notre amitié" déclare Vannier. Divers musiciens de Los Angeles et de Paris ont collaboré à cet enregistrement : Smokey Hormel (Beck, Johnny Cash), Justin Meldal-Johnsen (Beck, Air, Nine Inch Nails) et James Gadson (Beck, Marvin Gaye). L'équipe parisienne est formée de Denys Lable, Bernard Paganotti (Magma), Daniel Ciampolini, Didier Malherbe, Léonard Le Cloarec et le Bécon Palace String Ensemble.

Emu par le roman de Paolo Giordano, The solitude of prime numbers, le chanteur a naturellement été amené à composer la musique du film du même nom. Cette succession de 16 titres de musique contemplative, est une nouvelle pierre époustouflante à l'édifice à multi-facettes du fondateur d'Ipecac. Là où ses divers projets (Fantômas, Mondo Cane, Tomahawk) sont souvent faits de transitions abruptes et d'instrumentations toutes en superpositions, cette collection de titres cinématiques laisse toute sa place à l'instrumentation, autorise les notes isolées à se faire entendre, et capture entièrement de caractère introspectif et réfléchi du roman.

On dit d'un nombre qu'il est premier lorsqu'il n'est divisible que par 1 ou par lui-même. Alice et Mattia, solitaires et inadaptés, tels des nombres premiers, sont tous deux hantés par des évènements tragiques survenus durant leur enfance. Ils se rencontrent au collège, se reconnaissent et construisent alors ensemble un équilibre fragile avant de prendre des chemins différents. Des années plus tard, Alice et Mattia portent encore les cicatrices de ce passé qui les a maintenus en marge de la vie. Alice s'est réfugiée dans l'exercice de la photographie. Mattia a fait de sa passion des mathématiques son métier. Mais leurs destinées semblent cependant irrévocablement liées... (Electre)